Lapins et lièvres en milieu urbain au Québec, les particularités de leur vie
Les lapins, notamment le lapin à queue blanche, sont très présents dans les zones urbaines du Québec, y compris dans la région du Grand Montréal. Ils s’adaptent bien aux modifications apportées aux écosystèmes par l’agriculture et l’urbanisation.
Habitat :
Ils trouvent refuge dans les terriers de marmottes et de moufettes ou sous les arbustes. Parfois, sous les structures des bâtiments,
Nourriture :
Ces animaux sont herbivores et se nourrissent principalement de plantes comme les pissenlits, trèfles, plantains, verges d’or, etc. En hiver, ils se rabattent sur les ramilles et bourgeons d’arbustes et d’arbrisseaux.
Population à Montréal :
Il est difficile de déterminer le nombre exact de lapins à Montréal, car il n’y a pas de suivi spécifique pour cette information. Cependant, on sait que le Québec abrite plusieurs espèces de lapins sauvages. En fait ils s’adaptent pour survivre aux conditions climatiques variées de la région.
Ennemis naturels :
Les lapins et lièvres ont des prédateurs naturels tels que le lynx, le renard, le coyote et le loup. Ils sont également chassés par les faucons et peuvent être menacés par des animaux domestiques comme les chiens et les chats.
Dommages causés par les lapins et lièvres dans les villes:
En milieu urbain, les lapins peuvent causer des dommages aux jardins, potagers, et cultures en mangeant des fleurs (comme les tulipes) et des légumes (comme les pois, les fèves, les carottes, les betteraves, la laitue et les fraises. L’hiver, ils peuvent endommager les arbres fruitiers et ornementaux en broutant les rameaux et en rongeant l’écorce.
J’espère que ces informations vous seront utiles pour mieux comprendre la présence des lapins et lièvres dans les milieux urbains au Québec. Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à demander.
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