Emploi dans la municipalité du Canton d’Orford
En ce qui concerne la situation avec des emplois et affaires dans le Canton d’Orford, le seule secteur d’activités qui peut offrir de nombreuses opportunités d’emplois, c’est le domaine de tourisme, quoique quelques postes peuvent être accessibles pour un nouvel arrivant au Québec dans le vaste parc provincial de Mont-Orford qui s’étend sur une surface de 50 km2.
Orford, c’est le paradis des alpinistes, des mordus des sports nautiques et des adeptes du vélo, alors on peut chercher une place dans un camping ou essayer de trouver un poste d’instructeur de ski alpin.
Pour les professeurs de musique, la nouvelle d’intérêt est qu’une école de musique de réputation internationale, la seule de son genre au Canada y fonctionne et le festival d’été de musique attire des foules des mélomanes.
Les autorités municipales ont un vaste programme de réinvestissement d’une partie de la taxe sur les immeubles non résidentiels perçue auprès des commerçants, alors vous pouvez vous renseigner sur les détails dans le site officiel d’Orford (voir notre note sur le canton Orford).
Saint-Élie-d’Orford
Les Orferois doivent leur dénomination collective à la situation de leur municipalité dans le canton d’Orford, proclamé en 1891, qui allusion à un village du comté de Suffolk, en Angleterre pour ce qui est du segment Saint-Élie, il rappelle que l’abbé Alfred-Élie Dufresne (1826-1891), grand vicaire, a desservi la mission de Saint-Élie-d’Orford en 1883, avant que celle-ci n’accède au statut de paroisse en 1889. Curé de Saint-Michel-de-Sherbrooke (1853-1891), l’abbé Dufresne a été missionnaire fondateur catholique de Compton (1855-1856), de Magog (1861), de Coaticook (1868-1870) et de Bromptonville (1863-1871). Créée en 1899, la municipalité de la paroisse de Saint-Élie-d’Orford prend place en Estrie, à l’ouest de Sherbrooke, entre Rock Forest, au sud, et Saint-Denis-de-Brompton, au nord. La partie ouest du territoire, qui comporte depuis 1992 le statut de municipalité, est peu peuplée.
Étant donné la présence d’Écossais et d’Anglais venus d’Europe et de Valcartier, le bureau de poste, identifié présentement sous le nom de Saint-Élie-d’Orford (1931), était connu sous celui de Glen Iver (1885-1931). Lieu de naissance du poète Alfred DesRochers (1901-1978), qui célébré son coin de pays, notamment dans son recueil “À l’hombre de l’Orford” (1929), Saint-Élie-d’Orford prend place aux portes d’une région de montagnes et de lacs dominés par le mont Orford (881 m).