Emplois dans la ville de Varennes
La ville de Varennes est le pôle du développement économique de la Rive-Sud de Montréal, c’est un noyau très attractif d’emplois.
Le nombre total de commerces et d’entreprises industrielles à Varennes est d’environ 450, il existe également 15 centres de recherche et le nombre total d’emplois est de plus de 7200 (pour une population de près de 21 mille de personnes).
Varennes se trouve à quelques minutes de Montréal, c’est pourquoi de nombreuses entreprises choisissent la ville pour s’y installer. De plus, elles sont attirées par la qualité des infrastructures industrielles, complétée par le calme campagnard. Cette localité en bordure du Saint-Laurent possède de nombreux aménagements de loisir pour la famille.
Des entreprises de renommée internationale y sont établies. Ces compagnies œuvrent dans les secteurs de la recherche, de la haute technologie, la chimie, les produits métalliques entre autres, donc l’activité économique est fort diversifiée et le potentiel économique est prometteur.
Il existe dans la Ville de Varennes l’organisme nommé Varennes Développement et qui a pour mandat de veiller au développement économique de la ville Varennes en mettant à la disposition des compagnies et des individus les outils nécessaires à la réussite de leurs projets. Les professionnels de Varennes Développement aideront avec plaisir chaque nouveau résident dans la réalisation de ses projets.

Notons que par opposition à la Rive-Nord de Montréal, la Rive-Sud de Montréal, route 132, est une vaste banlieue donnant sur le Saint-Laurent, qui fait partie de la Montérégie. Cette région ne possède pas de véritable existence institutionnelle ; en conséquence, son territoire ne correspond à des limites géographique précises.
MRC de Marguerite-D’Youville
Municipalité régionale de comté de 416 km carrés sise dans la région administrative de la Montérégie, le long du Saint-Laurent, entre les MRC de Champlain et du Bas-Richelieu. Son territoire et celui de la communauté urbaine de Montréal se rejoignent dans le fleuve, au nord-est de la métropole. Cette MRC est entièrement comprise dans la plaine du Saint-Laurent. Les îles de Boucherville, de Varennes, de Verchères et de Contrecœur en font partie. L’État québécois a constitué un parc de récréation dans celles de Boucherville. Établie en janvier 1982, la MRC, qui a succédé à l’ancienne municipalité du comté de Verchères, se compose de sept municipalités, dont Boucherville est la plus importante.
La population est très majoritairement urbaine et francophone ; une minorité peu nombreuse parle l’anglais. La proportion élevée d’administrateurs, de spécialistes de sciences sociales et physiques, d’enseignants et d’employés de bureau que l’on y retrouve tient à la proximité de l’île de Montréal, où se concentrent les fonctions de recherche, de gestion et d’enseignement.
La MRC compte elle-même, à Varennes, un Institut de recherche d’Hydro-Québec sur l’électricité, soit l’IREQ. La métallurgie représente le pilier de l’économie régionale ; Contrecœur est en effet connue comme le siège de l’industrie sidérurgique du Québec. La fabrication d’appareils reliés à la production de l’hydroélectricité est une autre pièce majeure de l’industrie de la région. Le nom de la MRC rappelle la mémoire de Marie-Marguerite Dufrost de Lajemmerais (1701-1771), connue surtout sous le nom de Marguerite D’Youville, fondatrice de la communauté des Sœurs Grises de la Charité et de l’Hôpital Général de Montréal (reconnaissance légale de la communauté le 3 juin 1753). Née à Varennes,, elle y a vécu jusqu’en 1721, sauf durant ses études au couvent des Ursulines à Québec.
Ruisseau du Pays Brûlé
Long de 2,5 km, le ruisseau du Pays Brûlé s’écoule dans la ville de Varennes. Il déverse ses eaux dans la rivière Saint-Charles à moins de 1 km de son embouchure dans le fleuve Saint-Laurent. Le toponyme Pays Brûlé inscrit dès 1707 dans des actes de concession. Vers 1770, il désigne la neuvième concession de la seigneurie de Varennes, qui se subdivise en deux secteurs de dimensions différentes : le Grand-Pays-Brûlé et le Petit-Pays-Brûlé. Par la suite, le spécifique Pays Brûlé a également servi à désigner le ruisseau drainant la concession. Il évoquerait la méthode utilisée jadis par les colons pour défricher la parcelle de terre concédée.
Ceux-ci abattaient des arbres, y mettaient le feu, utilisant les cendres comme engrais. D’immenses amas de bois se consumaient ainsi pendant plusieurs semaines ; à la fin, une épaisse couche de débris mêlés au sol venait l’enrichir. Un autre ruisseau à quelques kilomètres à l’est, celui-là appelé Grand fossé du Pays Brûlé, arrose la même municipalité. Plus de 160 toponymes québécois comportent officiellement le terme Brûlé dans leur dénomination.