Emplois à Val-d’Or

Trouver emploi dans la ville de Val-d’Or

La ville de Val-d’Or, située dans la Région administrative d’Abitibi-Témiscamingue annonce sur son excellent site Web qu’elle invite des nouveaux arrivants au Québec à venir la visiter et venir y vivre pour jouir d’une qualité de vie exceptionnelle, dont Val-d’Or est fière.

En effet, l’infrastructure et un grand nombre de services permettent à Val-d’Or de répondre aux besoins de la vie moderne. De plus, le coût d’immeubles à Val-d’Or est plus bas que les prix moyens au Québec.

Plus de 1 300 entreprises fonctionnent dans la ville, employant près de 15 000 travailleurs.

Quatre entreprises forestiers s’occupent de l’exploitation forestière à Val d’Or, soit

  • Domtar,
  • Uniboard,
  • Unires
  • Norbord.

Trois mines d’or existent toujours dans la municipalité, mais aujourd’hui, Val-d’Or est passée à l’ère de la technologie. C’est pourquoi la deuxième et la troisième transformations occupent une place d’importance dans l’économie de la ville. Son parc industriel regroupe au delà de 125 entreprises et compte des industries de pointe et des PME manufacturant de nouveaux produits. Des centaines de terrains industriels son disponibles à Val-d’Or.

Il faut souligner que la ville passe par une étape de développement énergétique et des nouveaux arrivants au Québec auront une multitude d’opportunités à saisir à Val-d’Or, en plus d’obtenir des avantages fiscaux et des facilités pour l’établissement et le financement de leurs projets.

La population locale possède un haut taux de bilinguisme et la ville a besoin d’une main d’œuvre qualifiée.

Finalement, mentionnons l’aéroport d’envergure internationale avec la 3e plus longue piste au Québec avec des terrains disponibles dans la zone aéroportuaire.

Alors, des immigrants peuvent entreprendre une belle ruée vers l’or à Val-d’Or !

Canton de Denain

Proclamé en 1965, un canton inhabité de l’Abitibi, situé à 60 kilomètres au sud-est de Val-d’Or, porte le nom de Denain (Municipalité régionale de comté de la Vallée-de-l’Or). Le centre nord est occupé par une partie du lac Matchi-Manitou qui est relié au lac Shamus par la rivière du même nom. Au sud-est, le lac Denain, dont le contour des rives est fort sinueux, rejoint le lac Ypres par un petit cours d’eau. Les cantons voisins d’Ypres, de Cambrai, de Vimy, de Foch et de Pétain rappellent, comme celui de Denain, soit des épisodes de la Première Guerre mondiale, soit des militaires qui s’y sont illustrés. À Denain, petite ville située sur l’Escaut, à 45 kilomètres au sud-est de Lille et à 10 kilomètres à l’ouest de Valenciennes, des troupes canadiennes, subissant l’assaut des Allemands, repoussèrent ceux-ci dans leurs derniers retranchements le 2 octobre 1918. C’est pour illustrer ce fait militaire que ce canton fut ainsi dénommé le 8 novembre suivant.

Lac Zanzibar

Minuscule plan d’eau compris dans la partie ouest de la ZEC Festubert et qui se trouve dans le territoire non organisé de Matchi-Manitou, dans la région inhabitée de l’est de l’Abitibi. Le lac Zanzibar, en forme de quille, reçoit les eaux des lacs Buff et Festubert et appartient au bassin hydrographique de la rivière Festubert. Le nom de ce lac proposé par les autorités de la ZEC en 1983, évoque l’île de l’océan Indien, proche de la côte occidentale d’Afrique. Ancien protectorat britannique, Zanzibar est devenu indépendant en 1963. L’île s’unit au Tanganyka l’année suivante pour former la Tanzanie. Ce toponyme est officiel au Québec depuis 1986.

Canton de Bourlamaque

Ce canton, proclamé en 1920, doit son nom à François-Charles de Bourlamaque, né à Paris en 1716. Lors de sa nomination comme colonel d’infanterie au Canada, au mois de mars 1756, il devenait le troisième officier en importance après Montcalm et Lévis. Il se distingua aux batailles d’Oswego, de Carillon et de Sainte-Foy. Après la Conquête, il fut créé commandeur de l’Ordre de Saint-Louis et accepta une mission à Malte, en 1761. Il écrivit un Mémoire sur le Canada, en 1762, avant de devenir gouverneur de la Guadeloupe. Il y est mort deux ans plus tard, à l’âge de 48 ans seulement.

Son « Mémoire » est rédigé comme s’il était possible que le Canada redevienne français et renferme nombre de suggestions sur ce qu’il faudra en faire. Le canton de Bourlamaque est marécageux dans la partie méridionale. Sa limite, à l’ouest, passe au milieu de la ville de Val-d’Or. Le nom du canton de Bourlamaque a paru sur la Carte de la région de l’Abitibi de 1911.

Val d'Or
Pavillon du tourisme de Val-d’Or. Photo libre de droit.

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