Emploi dans La Pocatière

Trouver emploi dans la ville de La Pocatière

Emploi dans La Pocatière : La ville de La Pocatière, située dans la région de Kamouraska, dans le Bas-Saint-Laurent, en pleine Côte-du-Sud est héritière d’une riche tradition institutionnelle, particulièrement en recherche et en formation.

En effet, La Pocatière se caractérise par la présence d’une forte concentration d’institutions de formation supérieure, de centres d’innovation et par une structure économique diversifiée où cohabitent la grande industrie, la PME traditionnelle et technologique, l’entreprise de la nouvelle économie et une activité commerciale importante.

On y trouve des secteurs de l’industrie agroalimentaire, de l’agroforesterie et de l’agroenvironnement, ainsi que les secteurs des hautes technologies, technologies physiques et optique/photonique, de la formation technique et professionnelle et l’innovation technologique. La métallurgie y est également présente.

La Pocatière compte un réseau développé des institutions de santé, telles qu’un hôpital avec clinique externe et service de chirurgie, ainsi qu’un CLSC, des cliniques privées en médecine générale, soins dentaires, optométrie, chiropractie et massothérapie, un centre de la petite enfance (CPE) qui administre aussi un réseau de garde en milieu familial de 150 places.

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Le secteur de l’éducation occupe un rôle important dans l’économie locale pocatoise et fait de La Pocatière un centre éducationnel renommé. Les efforts se concentrent dans la recherche, le développement et le transfert technologique des secteurs bioalimentaire, transport en commun et nouvelles technologies, ce qui dessine actuellement le véritable profil économique de La Pocatière.

La haute technologie est incontournable dans la région: électronique, optique, acoustique, domotique, génétique ovine, transport en commun, technologies des communications, sciences horticoles et de l’environnement sont autant de créneaux industriels d’aujourd’hui et de demain constituant l’environnement de travail quotidien.

La présence de nombreux centres d’expertise de même que d’incubateurs d’entreprises technologiques et d’entreprises bioalimentaires et de nombreux organismes de développement économique, assure à l’entrepreneur tout le support professionnel, technique et financier pour l’accompagner dans sa démarche de développement.

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La présence de Bombardier, ce géant du transport en commun, a favorisé l’émergence d’un grand nombre d’entreprises pouvant répondre aux besoins de sous-traitance et, à l’inverse, pouvant rechercher de la sous-traitance.

Des infrastructures comprennent un parc industriel, un motel industriel, le Carrefour de la nouvelle économie et un programme de crédit de taxes pour les entreprises manufacturières et certaines entreprises de services. La mise sur pied de la Corporation de développement économique de La Pocatière (CDE) est une autre preuve que le milieu pocatois désire assurer un service de première ligne à l’entreprise et participer activement à la création d’emplois dans la région.

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Fait à remarquer, un Comité d’accueil et d’intégration a été créé dans La Pocatière pour aider les nouveaux arrivants à s’intégrer et un programme d’encouragement à l’établissement résidentiel offrant des mesures destinées aux familles qui envisagent l’acquisition d’une première résidence dans le milieu pocatois a été mis en place.

La Pocatière est située à 130 kilomètres à l’est de Québec. Les réseaux routier, maritime et ferroviaire qui desservent la localité suivent l’axe des voies de communication les plus importantes de l’est canadien.

Pour ce qui est du transfert aérien, l’aéroport international de Québec est situé à 140 kilomètres et les villes de Rivière-du-Loup et Montmagny possèdent des aéroports régionaux.

La Pocatière offre un cours aux adeptes de pisciculture

25 février 1980. La Pocatière. Plus de 150 personnes provenant de tous les coins de la province doivent participer, les 7 et 8 mars, à un premier cours intensif destiné aux adeptes de la pisciculture et dispensé par l’Institut de technologie agricole de La Pocatière C’est par l’intermédiaire de son service de l’extension et avec le concours du personnel enseignant de son laboratoire piscicole unique que ITTA a préparé ce cours, dont la popularité est déjà acquise, selon M René Brousseau l’adjoint au directeur des services pédagogiques de l’institution.

Le cours est offert tout à fait gratuitement. Il suffit d’avoir suffisamment d’intérêt pour l’élevage des salmonidés pour bien vouloir en entendre parler durant deux jours, pour s’inscrire.

La pisciculture

Construit en 1971, le laboratoire piscicole de l’Institut de technologie agricole de La Pocatière existe d’abord en fonction des besoins d’enseignement de la pisciculture, une matière obligatoire à l’intérieur du programme de bioconservation du milieu rural.

Afin d’utiliser une eau naturelle sans traitement, on a autorisé l’institut à aménager son laboratoire. C’est près d’un réservoir désaffecte du réseau d’alimentation en eau potable de la municipalité.

Dès le début, une petite construction de 20 pieds sur 24 a permis d’installer quatre bassins d’élevage. Ainsi que deux incubateurs et les accessoires. La gravité alors amenait l’eau au laboratoire à partir d’un ruisseau voisin.

Depuis 1974. on a doublé la superficie. En effet, on y a ajouté six bassins. Les différentes étapes de l’élevage ont ainsi pu être rouvertes. Des pompes assurent depuis lors un approvisionnement plus régulier et efficace de l’ensemble. Les incubateurs sont d’une capacité de 200 000 unités par an. Ils permettent l’éclosion d’oeufs de salmonidés produits sur place et obtenus de piscicultures gouvernementales ou commerciales.

Ensemencement

Cet équipement moderne permet aux étudiants de participer directement aux différentes étapes de l’élevage des poissons. Soit la reproduction artificielle, l’incubation, l’alevinage l’engraissement, le traitement des maladies. la régie et l’ensemencement.

Ce dernier exercice profite d’ail leurs aux lacs de la région. C’est où se dispersent les produits de l’élevage fait au laboratoire. Cela en accord avec les règlements et sous la surveillance des autorités gouvernementales compétentes.

Les techniques piscicoles sont de plus en plus populaires au Québec. Après un départ lent et difficile, cette production est ressentie avantageusement des modifications à la loi du crédit agricole. II en sera probablement de même à la suite de la réorganisation administrative. En effet la Direction générale des pêches sous l’autorité du ministère de l’Agriculture s’en occupe.

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Déjà, à l’institut de La Pocatière. on affirme que sept technologistes parmi les 53 diplômés du cours en bio conservation du milieu rural, soit 14 pour 100 travaillent aujourd’hui en pisciculture ou dans un domaine connexe.

La direction de l’ITA estime toutefois qu’on repéchera un nombre toujours plus grand de ses diplômes par l’industrie piscicole au cours des prochaines saisons. C’est pourquoi on veut également offrir des cours de perfectionnement aux éleveurs de truites. Ainsi que toutes autres personnes intéressées dans ce domaine.

Pour s’inscrire, il faut signaler (418) 856 – 1110 directement à l’institut. Ou encore demander l’aide d’un représentant du ministère de l’Agriculture dans son milieu. N’oubliez pas la date limite 29 février 1980.

La Pocatière Emploi dans La Pocatière
La Pocatière. Photographie libre de droit.

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