Trouver emploi à Bonaventure
La ville de Bonaventure est très intéressante pour de nouveaux arrivants au Québec et nous proposons de la considérer comme lieu possible d’installation, car c’est une ville en pleine expansion, avec des opportunités d’emplois. Cette ville est un pôle de développement régional dotée d’une chambre de commerce qui aide à organiser ses activités économiques. Il y existe en outre de nombreux magasins, boutiques et ateliers.
De plus, Bonaventure abrite des hébergements de type varié, il existe un magnifique camping en bord de mer et un autre, plus boisé, près de la rivière Bonaventure.
Il faut dire que comme toute la Gaspésie, Bonaventure fait face au problème de la dénatalité.
Cependant, les jeunes de moins de quinze ans représentent encore près de 20% de la population de la ville, ce qui assure un dynamisme du milieu.
Les perspectives sont d’ailleurs très bonnes pour Bonaventure, étant donné son pouvoir d’attraction résidentielle sur l’ensemble de la MRC de Bonaventure.
Pointe de Beaubassin
Ce toponyme identifie une pointe ainsi qu’une lagune situées dans la municipalité de Bonaventure, en Gaspésie. Cette avancée sablonneuse, surnommée Banc de Bonaventure, s’étend sur le littoral de la baie des Chaleurs, sur une distance de 1,5 km, à partir de l’église de l’endroit jusqu’au quai érigé à son extrémité. À l’est de la pointe de Beaubassin, s’étire une deuxième pointe nommé Banc de l’Est. Ces deux bandes de terre retiennent les eaux de la rivière Bonaventure, à son embouchure, et forment le havre de Beaubassin, appelé localement Le Barachois. Cette lagune sert de petit port pour les pêcheurs et les plaisanciers. C’est sur la Pointe de Beaubassin que se sont temporairement installés les premiers réfugiés acadiens venant de l’ancien village de Beaubassin, aujourd’hui Amherst, en Nouvelle-Écosse, après leur dispersion en 1755. Ceux-ci y ont érigé une première chapelle en 1760.
Rivière Bonaventure
D’une longueur d’environ 115 km, la rivière Bonaventure naît dans le massif gaspésien des Chic Chocs, à 487 m d’altitude et à une dizaine de kilomètres au nord d’un petit lac logé dans son parcours.
Encaissée dans le relief sur la majeure partie de son trajet, elle capte notamment les eaux de la rivière Bonaventure Ouest, sur la rive droite, à 182 m d’altitude, et, sur la rive gauche, celles de six affluents mineurs dont l’un, la rivière Garin, conflue avec la rivière Bonaventure, à l’altitude de 121 m, là où le tracé du collecteur effectue un angle de 90 degrés vers l’ouest.
Après ce changement d’orientation, la rivière redescend franc sud, puis elle tourne vers le sud-est avant de déboucher dans la baie des Chaleurs à l’aval de la municipalité de Bonaventure. Le nom de cette rivière était déjà inscrit en 1697 dans l’acte de concession de la seigneurie de la rivière de Bonaventure au sieur de la Croix, par le gouverneur Jean Bochart de Champigny. S’il n’est pas exclu que le terme spécifique de ce toponyme ait quelque rapport avec Île Bonaventure, du moins est-il évident qu’il a servi à attribuer le nom du comté (1829) ainsi que celui de la paroisse de Saint-Bonaventure-d’Hamilton (1860). Pour sa part, Ganong inscrit sur sa carte de 1927 le non Ouganetgog, mot micmac ayant pour sens eau claire, pour identifier ce cours d’eau. Variante : Rivière Bonaventure Est.
Voir aussi :
- Emplois : un peu partout
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- CV, CV, CV
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