Commerce à Varennes
Commerce à Varennes : Nous avons parlé ailleurs dans notre site de la ville de Varennes et de ses secteurs industriels, il est temps de dire quelques mots sur son industrie touristique.
L’accroissement constant de la population de la ville, combiné à sa situation économique (rappelons que l’indice des revenus moyens à Varennes, est l’un des plus hauts au Québec) et à l’un des plus faibles taux de taxation commerciale de la région de Montréal, font de la ville de Varennes un territoire idéal pour l’implantation de commerces ou de restaurants.
Si vous avez lu notre article sur la ville de Varennes, vous savez déjà que la ville est située tout près de Montréal et que sa position géographique est vraiment enviable. C’est un pôle économique majeur, avec de taux de taxe foncière avantageux.
Le secteur commercial de la ville de Varennes est concentré autour de trois axes routiers : route Marie-Victorin, Boulevard René-Gaultier et Carrefour boulevard de la Marine/boulevard Lionel-Boulet.
La route Marie-Victorin, dans la zone du centre-ville en est le centre le plus important, comptant plus de 60 établissements de commerce, spécialisées dans la vente, réparation, restauration, services professionnels et soins de santé. Cette zone offre plus de 500 emplois.
Un nouvel arrivant au Québec peut contacter l’équipe de Varennes Développement pour se renseigner sur les secteurs d’affaires les plus attrayants.
Île Bellegarde
Cette île étroite de 600 m de longueur se situe dans le Saint-Laurent à l’est de Repentigny. C’est plus près de la rive sud que de cette ville bordant la rive nord. On ne signale pas d’autre nom pour cette entité. En fait il semble que l’on l’avait ainsi appelée depuis le XVIIe siècle. Sauf Île au Sable, très peu connue et relevé en 1974. Cette île d’environ 10 ha a doublé son étendue, en raison de l’accumulation de terre qu’on y a déposée au moment des dragages du fleuve. Ce patronyme est soit celui de Christophe Gerbault dit Bellegarde qui accompagnait Daniel Greysolon Dulhut en 1678-1679 jusqu’à l’ouest du lac Supérieur, soit celui de Pierre Gerbault dit Bellegarde, censitaire dans la seigneurie de la Rivière-du-Loup-en-Haut en 1725. Le spécifique se présente aussi sous la variante orthographique Belgarde.
