Emplois: un peu partout

Vie économique d’Amqui

Vie économique d’Amqui

Économie de la ville Amqui

La ville d’Amqui regroupe plus de 6 mille Amquiennes et Amquiens et est l’un des centres commerciaux et agricoles les plus importants de la région de Matapédia, de plus étant le centre de La Matapédia, Amqui regroupe un tiers des vingt mille habitants de cette région.

Cela peut être un choix judicieux pour de nouveaux arrivants au Québec de choisir cette ville comme domicile grâce à ses avantages.

En ce qui concerne l’économie, la Ville d’Amqui dispose d’un tissu industriel relativement dense et diversifié : métallurgie, biotechnologie, bois, industrie du meuble.

La ville d’Amqui est en train d’agrandir l’une de ses deux zones industrielles. Si ce projet est couronné de succès, les possibilités d’installation de nouvelles entreprises augmenteront.

À Amqui, les opportunités d’affaires sont nombreuses et une forte demande de salariés spécialisés témoigne d’une économie en croissance.

Les promoteurs désireux de s’installer dans cette ville ont à leur disposition une pléiade d’organismes à vocation économique.

Il semble qu’Amqui est le lieu idéal pour lancer une entreprise. Le commissaire industriel d’Amqui promet de prendre en charge et d’accompagner toute demande qui lui sera faite, alors contactez-le sans hésiter : commissaire industriel de la Ville d’Amqui, au 418 629 4242, poste 225 ou venez le rencontrer à l’hôtel de ville.

La Grange

En 1887, paraissait au Québec le premier d’une série de documents cartographiques concernant un territoire du Bas-Saint-Laurent, désigné par les autorités en 1919 du nom de La Grange. Ce canton, de forme plutôt irrégulière, s’étend dans la réserve faunique de Dunière, en plein cœur des monts Notre-Dame, à quelque 30 km à l’est d’Amqui et à une cinquantaine de kilomètres au sud-est de Matane. Bien qu’inhabité, le canton de La Grange conserve toutefois des traces de la présence humaine, ne serait-ce que dans quelques lieux-dits, comme Le Trente-Milles et Le Moulin-à-Pelletier, vestiges d’anciens camps forestiers. Son nom rappelle Jean Léger de la Grandge, né le 19 juin 1663 à Abjat (commune de Jnailhac), boutg aujourd’hui disparu du diocèse de Limoges.

À l’origine, La Grange aurait pratiqué le métier de chirurgien mais, très tôt, il réorienta sa carrière vers celle de marin, puisqu’en 1696 il commandait le Wesp, un des navires de l’expédition militaire de Pierre Le Moyne d’Iberville contre les Anglais de Terre-Neuve. Quelques années plus tard, tout en continuant à commander divers navires, il était commerçant à Québec. En 1704, soutenu par des marchands de la colonie canadienne. La Grange arma et dirigea deux navires vers Bonavista, établissement terreneuvien qu’il attaqua le 29 août. Nommé capitaine de flute dans la marine royale, après avoir détruit ou capturé un certain nombre de navires avec leur cargaison de morue, il aurait passé l’hiver de 1709-1710 au fort Bourbon (rebaptisé plus tard Fort Nelson par les Anglais, parce que situé à l’embouchure du fleuve Nelson), sur le territoire de la baie d’Hudson. Il retourna ensuite en France, où il serait mort vers 1736. Il existe en France une multitude de lieux appelés la Grange. L’un d’eux, un hameau, se trouve à Saint-Laurent-sur-Gorre, chef-lieu de canton dans le département de la Haute-Vienne, à environ 25 km au sud-ouest de Limoges. Au Québec, outre le canton, on trouve également un lac La Grange dans le Nord québécois ; son nom rappelle le même personnage.

Canton de Humqui

Dénommé après 1860, ce canton du Bas-Saint-Laurent se situe au sud de la ville d’Amqui, dans la MRC de La Matapédia. Borné à l’est par la rivière Matapédia et le lac au Saumon, il est traversé par la rivière Humqui dont le cours s’amorce dans la municipalité de la paroisse de Saint-Zénon-du-Lac-Humqui. Le toponyme Humqui provient d’un terme micmac dérivé d’Amqui, lequel demeure la forme actuelle pour la ville. Proclamé en 1870.

Église d’Amqui, peinture par Marie-Hélène Massé.

3 Comments

  1. Renaud Jules Deschênes dit :

    Ils m’ont fait naître à AMQUI, le 6 novembre 1951, il faisait froid, il faisait noir, c’était d’une noirceur terrifiante. Ma mère est morte en me donnant la vie, je suis devenu orphelin puis enfant adopté. J’étais un être intelligent et sensible, mais la cruauté et la lourdeur des villageois, leur méchanceté atavique et rurale ont fait de moi, un être méfiant et fermé à la société des hommes. Aujourd’hui, je fais naufrage à quelques kilomètres à l’ouest de ce cloaque innommable. Le choix de naître dans un lieu n’appartient pas à la victime de cette cruauté du destin. AMQUI des années cinquante était vraiment un film d’horreur dans lequel je fus figurant malgré moi, un bien triste témoin. Si j’avais eu le choix, je ne serais pas né…MERCI !

  2. Nathalie dit :

    Recherche d’emploi a Amqui
    Je suis née à Amqui mais comme il n’avait pas de Cégep et n’y d’emploi en 1991, j’ai dû quitter pr Rimouski, Bic, Ontario, Québec. Mais après 20 ans ailleurs mon rêve serait de revenir à Amqui retrouver ma famille, mes amies, la vie de campagne … qui me manque de plus en plus.
    Alors en fds je commence a regarder les offres d’emploi ds le journal et en parlé à mon entourage mais
    Est-ce qu’il y a un site d’emploi à quelques part qui afficherait les emplois a Amqui ?
    Bonne journée

  3. Renaud Jules Deschênes dit :

    Chère Colombe,
    J’ai improvisé un petit libellé sur mon histoire en novembre 2010. Tu as répondu à cette petite chose, en août 2011 et je tombe sur tes mots en juin 2012. En résumé, nos vies se croisent sur une période de trois ans…J’ai été fort impressionné par cette terrible tragédie qui n’a rien de comparable à mes petites douleurs enfantines. Cette page est publique, alors il m’est difficile d’ouvrir mon coeur après toutes ces années. Je t’invite à m’écrire un mot, à mon adresse é-mail: deschenes.renaud@videotron.ca. Si tu choisis de ne pas me répondre et bien saches que je t’aimais beaucoup. Je ne considère pas du tout que tu étais vache avec moi. Non, au contraire, je trouvais que tu avais du tempérament, une nature forte, tu me faisais un effet du tonnerre, même à l’âge de neuf ans…Alors mes états d’âme c’est bien mince en regard de ton drame innommable…(Faire suivre) Je t’embrasse ma Chère Colombe et à Bientôt ! avec un peu de chance…Renaud (Faire suivre) s’adresse au modérateur de ce site qui est en mesure de croiser ton adresse et la mienne…Salut !

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