La Fintech au Canada

L’impact de la Fintech au Canada voit son importance augmenter. Découvrez donc comment elle fonctionne sur les plans nationaux et internationaux.

La croissance de la Fintech au Canada et son influence économique mondiale

La Fintech, qui correspond à l’ensemble des nouvelles technologies visant à améliorer les services financiers, occupe une place importante dans l’économie canadienne et mondiale. Découvrez donc ce qu’est exactement la Fintech et sa place dans le tissu économique.

Qu’est-ce que la Fintech ?

De base, la Fintech correspond à toutes les technologies utilisées afin de simplifier les services financiers en les rendant plus efficaces, mieux sécurisés et moins chers. Toutefois, il désigne aussi toutes les entreprises qui exercent dans ce secteur précité. Le développement de ces sociétés est très important et concerne les segments du marché financier traditionnels, tels que les transferts d’argent, l’épargne ou le crédit, mais aussi les plus modernes tels que le financement participatif (crowdfunding) ou les monnaies virtuelles, notamment les cryptomonnaies. Par exemple, si vous voulez essayer les jeux Book of Dead avec de la cryptomonnaie, rendez-vous sur book of dead casino pour vous servir de cette Fintech afin de jouer en ligne à ce jeu d’argent.

La place de la Fintech dans l’économie canadienne

Au Canada, 257 entreprises de ce secteur sont présentes, employant au total 19 900 personnes sur le plan national et plus de 86 000 à l’étranger. En outre, ces sociétés sont particulièrement récentes, puisque 21% d’entre elles ont été fondées depuis 2020. On peut donc constater que ce secteur se développe particulièrement rapidement au Canada. Parmi les différents segments de cette industrie, trois d’entre eux dominent le marché canadien. Il s’agit des moyens de paiement, des technologies de prêt et de la gestion de l’Intelligence Artificielle et des données.

Sur les 257 entreprises Fintech canadiennes, 104 d’entre elles exercent dans un de ces trois secteurs, ce qui représente tout de même plus de 40% des sociétés Fintech. Il est également important de noter que 73% de la main-d’œuvre de ce secteur travaille dans de petites entreprises, c’est-à-dire comptant entre 5 et 99 employés. Enfin, 56% de ces sociétés vendent leurs produits à d’autres entreprises, alors que 26,8% s’adressent directement aux consommateurs et que 16,7% d’entre elles travaillent avec des institutions financières.

Un développement décentralisé

Depuis le début des années 2020, le Canada est considéré comme un pôle Fintech important. C’est en grande partie parce qu’on retrouve quatre villes de ce pays dans le classement des 20 foyers Fintech les plus importants au monde, c’est-à-dire Toronto, Vancouver, Montréal et Calgary. Avec les Etats-Unis, c’est le seul pays à être aussi représenté dans ce classement. Toronto, le pôle le plus important au Canada, est également le troisième d’Amérique du Nord, derrière San Francisco et New-York. Entre 2010 et 2020, il est parvenu à obtenir une croissance annuelle moyenne de 130%. Néanmoins, la ville canadienne qui se développe le plus est Montréal, qui enregistre une augmentation d’activité de 200% par an, ce qui constitue le développement le plus important au monde. La capitale du Québec peut notamment compter sur l’apport de sociétés à fort potentiel, telles que Nesto, Nuvei ou Sibli.

Une place forte dans le monde

Comme nous l’avons déjà évoqué, le Canada est l’un des pays les plus influents dans le secteur de la Fintech. Il est notamment très présent dans les secteurs de paiement bancaire et dans la gestion des données et de l’Intelligence Artificielle. Néanmoins, il semble rencontrer des difficultés à tenir la comparaison avec les Etats-Unis. On peut notamment constater que ce dernier cherche régulièrement à recruter les plus gros talents canadiens, en offrant des salaires particulièrement attractifs, atteignant parfois le double de celui qu’ils touchaient au Canada. Toutefois, la patrie de l’Oncle Sam connait une importante vague de licenciement, ce qui pourrait permettre au Canada de pouvoir dorénavant conserver ses meilleurs employés.

 

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