Lacs et rivières de Charlevoix
Avec ses dizaines de lacs et rivières, la région de Charlevoix est le paradis des amateurs de baignade et d’activités nautiques. Voiliers, canots, kayaks, quel que soit le type d’embarcation, les rampes de mise à l’eau. Tout cela est accessible et nombreux. Les sentiers nautiques de la région couvrent des habitats exceptionnels, riches en paysages.
Les pêcheurs alors ont le droit de se mesurer à plusieurs espèces de poissons. Au fait, Charlevoix est synonyme de pêche à la truite mouchetée, appelée aussi omble de fontaine.
Parmi ce grand nombre de lacs de Charlevoix, citons le lac Nairne. Ce lac est un lac reconnu par sa beauté, ses paysages enchanteurs, une faune et une flore abondantes. Ainsi que des chalets au cachet unique. C’est un véritable endroit idéal pour des vacances inoubliables pour les petits et les grands.
Le lac Croche, situé sur le territoire de la Pourvoirie du Lac Croche, s’étend sur un territoire de 36,6 kilomètres carrés. Il est situé à 20 kilomètres à l’ouest de la route 170 reliant Sagard à Petit-Saguenay. Ce lac offre une expérience de pêche et de chasse inoubliable dans la nature. Par ailleurs, la pourvoirie du Lac Croche, membre de la Fédération des Pourvoiries du Québec, constitue une destination de choix pour passer des vacances tout en pratiquant la pêche et la chasse.
Autres lacs et rivières de Charlevoix
Autres douze lacs indigènes ou ensemencés sont parsemés autour du Lac Croche. La pourvoirie possède des chalets, équipés de toutes les commodités. Elle offre un nombre de forfaits, dont forfait vacances famille.
À la pourvoirie Humanité de Charlevoix, son personnel ensemence chaque semaine trois de ses 9 lacs. Sur une saison, les milliers de truites de 9 à 13 pouces ensemencées enchantent les pêcheurs qui recherchent qualité et quantité.
Deux grands lacs, le lac François (avec une île) et le lac Fontaine, regorgent de truites mouchetées indigènes. Ces poissons peuvent atteindre par ailleurs jusqu’à 3 livres et demie. Le lac Florent, peuplé exclusivement de grosses truites mouchetées, atteint des sommets record, tant par le nombre de captures que par le poids de celles-ci. La moyenne des prises est de 2,5 livres. Cependant on y trouve des ombles de fontaine de 4 livres capturés à la mouche.
Parmi les autres lacs d’ici, on peut citer le Lac Lassus, Lac Petit Lassus, Lac Maurice, Lac Augustin, Lac Léon.
Réserve faunique des Laurentides
Sur le territoire de la Réserve faunique des Laurentides, on retrouve le lac Malbaie, lac des Fermiers, lac Duberger, lac à Jack, lac Alloux et un grand nombre d’autres. Autour de Saint-Placide-de-Charlevoix et Saint-Cassien-des-Caps, de beaux plans d’eau sont parsemés : lac Savane, lac Louis, lac Équerre, lac Larouche, lac La Flippe.
Au sud du parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie, vous trouverez le lac des Martres. Il s’étend sur le territoire de la pourvoirie de la zec des Martres.
Dans les environs de Saint-Siméon et Sagard, on peut opter pour un séjour entre le lac McLagan, lac au Sable, lac au Plongeon, lac Chaud, lac aux Pins Rouges, lac Comporté, lac Gravier (situé tout près du Mont Grand-Fonds), lac aux Îlots, lac du Port aux Quilles, lac de la Baie des Rochers, lac aux Canards, lac Suteux.
Lac Barley
Cette étendue d’eau se situe à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de la municipalité charlevoisienne de Baie-Saint-Paul. D’abord orthographié de diverses manières, comme Berly ou Berley, le toponyme Barley acquiert sa forme actuelle en 1927. Approuvé en 1963 par la Commission de géographie, il rappelle le souvenir de Pierre Berly, Amérindien d’origine abénaquise qui campait dans la région. Il possédait, à la décharge du lac, une fosse à truites connues sous le nom de Trou à Berly.
Rivière Rémy
La rivière Rémy constitue l’un des principaux affluents de la rivière du Gouffre, sur sa rive ouest. Elle s’y déverse à environ 7 km en amont de sa confluence avec le Saint-Laurent. C’est près de la ville charlevoisienne de Baie-Saint-Paul. Longue d’environ 12 km, elle tire sa source principale du lac du même nom. Ce lac se trouve dans les montagnes s’élevant derrière le rang Saint-Thomas. Toujours en service, c’est le Séminaire de Québec qui a bâti le moulin à farine de la Rémy au cours des années 1826 et 1827.
Plusieurs générations d’une famille Fortin, meuniers de père en fils, continuent d’en assurer le bon fonctionnement depuis plus d’un siècle et demi. La plus ancienne mention écrite de cet hydronyme se retrouve sur une carte tracée en 1751. C’est l’arpenteur royal de l’époque, Ignace Plamondon, qui l’a introduit. Dans « La petite histoire de Charlevoix » (1987), Léo Simard note: « La Rémie : double appellation et à un moulin et à un rang, à quelques milles de Baie-Saint-Paul (route 138). Il y aurait également une double explication : Pierre Rémy, procureur du Séminaire de Québec et Rémy Tremblay, ancien habitant de la Baie. »
Pour en apprendre plus :
- Interprétation de la nature
- Activités de plein air
- Pêche et chasse dans Charlevoix
- Mont Élie et TNO Mont Élie