Lac Taureau dans Lanaudière
Le Lac Taureau est un immense réservoir d’une superficie totale de 95 km carrés. Une de ces particularités est sa forme incroyablement complexe. Ce réservoir se trouve dans la région de Lanaudière.
On dit parfois que le lac Taureau ressemble à une marguerite, mais sa topographie est beaucoup plus bizarre, il représente plutôt une forme ondulée rappelant la lettre Z multipliée par quatre.
Plus de 60 îles et îlots parsèment la superficie du lac. Ils sont inhabitées et la plus grande partie ne sont même pas visitées, principalement, dans la partie est du lac.
Cependant, l’ensemble du Lac Taureau est encore à l’état sauvage, sans un grand nombre d’auberges, ni sans stations de vacances et plusieurs sont d’avis qu’il devrait rester une zone sauvage. Selon les plans existants, la moitié des berges du lac Taureau seront préservées de toute exploitation.
Il y a et quelque condos, construits ou en train d’être construits dans le cadre des projets domiciliaires du lac Taureau avec des vues sur le lac, sauf exception et avec la possibilité d’utiliser des services de l’hôtel avoisinant, avec sa piscine intérieure, spa, bistro et autres sans sortir dehors, grâce à une passerelle. Les gestionnaires du projets pensent à une propriété type condotel, c’est-à-dire, le locataire ne pourra y passer plus de 36 jours par année.
Si on parle des condos, c’est parce que ces projets immobiliers aideront au développement de l’industrie touristique dans la région du Lac Taureau. Contrairement aux condotels de Montréal et du Mont- Tremblant, acquis par la plupart par des étrangers, au Lac Taureau, la plupart des condotels ont été achetés par des Québécois : des avocats, des médecins ou des hommes d’affaires.
On recommande l’Auberge du lac Taureau comme le lieu idéal pour ceux qui viennent admirer le Lac Taureau.
Canton de Badeaux
Jean-Baptiste Badeaux (1741-1796) devint notaire public pour la ville et le district de Trois-Rivières à l’âge de 26 ans. Lors de l’invasion américaine (1775-1776), il rédigea le Journal des opérations de l’armée américaine publié beaucoup plus tard, soit en 1870, dans la Revue canadienne. En 1795, il fut chargé de la préparation des papiers terriers des lots réclamés par les Abénaquis d’Odonak, sur la rivière Saint-François. À son décès, il était gardien des greffes de notaires de la ville et du district de Trois-Rivières. Son nom a été attribué vers 1920 à un canton inhabité situé à quelques kilomètres au nord-est du réservoir Taureau, source de la rivière Matawan, affluent du Saint-Maurice. Ce canton a été proclamé en 1965.
