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Tarte à la bière

Tarte à la bière

Recette de la tarte à la bière

Ce qu’il nous faudra :

  • 400 g de farine
  • 200 g de beurre
  • 100 g de sucre glace
  • 2 jaunes d’œufs
  • 2 pincée de sel

Pour la garniture :

  • 300 g de cassonade
  • 8 œufs
  • 50 cl de bière ambrée
  • 8 c. à table de crème
  • 100 g de beurre

Préparation :

  1. Amalgamez les éléments de la pâte. Mettez la pâte en boule, l’emballez dans un papier film et réservez au frais pendant une heure ;
  2. Remettez la pâte à température ambiante et attendez une demi-heure, puis étalez la pâte, piquez avec les dents d’une fourchette et retournez laissant les piqûres en dessous dans un moule beurré. Réservez au frais une demi-heure ;
  3. Réchauffez le four à 200°C ;
  4. Étalez la cassonade sur le fond de tarte et enfournez environ dix minutes ;
  5. Battez les œufs entiers avec la bière, ajoutez la crème et mélangez ;
  6. Retirez le moule du four, y versez la crème aux œufs et parsemez de petits morceaux de beurre ;
  7. Réenfournez pour environ 45 minutes ou jusqu’à ce que le dessus de la tarte soit bien dorée.

Servir tiède.

Crème

Matières grasses du lait, de couleur blanc jaunâtre et de consistance onctueuse. La crème remonte à la surface du lait non homogène ou est obtenue par centrifugation. Il faut 9 litre de lait pour obtenir 1 litre de crème.

La crème est disponible liquide ou déshydratée, crue (rarement), pasteurisée (chauffée 20 secondes à 68 degrés C) ou ultrapasteurisée (UHT, chauffée 3,5 secondes à 141 degrés Celsius) et en diverses concentrations de matières grasses (chaque pays édicte ses normes). La crème à fouetter (dite crème fraîche en Europe), qui doit contenir au moins 30 % de matières grasses pour fouetter, en contient autour de 35% au Canada, en a souvent 40% en France, tandis qu’aux États-Unis, on distingue entre la crème à fouetter légère (de 30 à 35 %) et la crème à fouetter épaisse (crème fleurette en Europe) est plus claire et contient entre 12 à 15 de gras. La crème moitié-moitié, qui est mélangée avec du lait puis homogénéisée, renferme de 10 à 12% de gras, la crème à café, dite aussi crème à céréales, 10% et la crème déshydratée, de 40 à 70%.

Il existe des crèmes fabriquées artificiellement : crèmes à café (Coffee Mate, Coffee Rich, Cremora, etc.) et crèmes fouettées (Dream Whip, Nutrifil, mousses à fouetter, etc.) commercialisées déshydratées, congelées, d’édulcorants (sucre, glucose, etc.) et d’additifs (alginate de sodium, cellulose méthyl-éthylique, stéroyl-2-lactylate de calcium, hydroxyanisol butylé (BHA), carragheen, gomme de gluât, couleur et arôme et en quantité qui varient selon le procédé de fabrication. Les succédanés de la crème sont pratiques mais leur valeur nutritive est discutable. En plus de contenir des additifs, ils sont presque tous dépourvus de vitamines, sauf de vitamine A qui est ajoutée, ils sont plus riches en acides gras saturés que les produits qu’ils remplacent et leurs matières grasses sont hydrogénées, processus qui transforme la nature des grasses. Les conséquences sur la santé de l’ingestion de tels produits, surtout à moyen et à long terme, sont inconnues.

lait et crème

Lait et crème. Message publicitaire des années 1950. Tout est mis en œuvre pour conserver à nos produits leur saveur naturelle. Lait – crème – beurre – œufs – breuvage ou chocolat. Image libre de droits.

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