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Poulet Magog

Poulet Magog

Recette du poulet Magog

Poulet grillé et pêches avec glaçage à la cassonade

  • Quatre poitrines de poulet désossées, sans la peau ;
  • 1/4 tasse de cassonade ;
  • Deux culières à table de sauce soya faible en sodium ;
  • Trois culières à table de margarine* non hydrogénée, fondue ;
  • Deux culières à table de jus de citron frais ;
  • Deux culières à table d’eau ;
  • Deux gousses d’ail, émincées ;
  • Quatre pêches fraîches, coupées en deux et dénoyautées

Placez le poulet dans un plat peu profond, il doit être assez grand pour contenir le poulet sur une seule rangée.

Mélangez la cassonade, la sauce soya, la margarine et le jus de citron dans un bol moyen. Retirez le tiers de ce mélange et le réserver au réfrigérateur. Ajoutez l’eau et l’ail au reste du mélange et versez sur le poulet. Tournez pour bien enrober, couvrez et marinez au réfrigérateur pendant au moins une demi-heure ou jusqu’à une journée. Préchauffez le barbecue à feu moyen.

Enlevez le poulet de la marinade. Badigeonnez le poulet avec une petite quantité de marinade réservée.

Grillez-le jusqu’à ce qu’il soit tendre, de 6 à 9 minutes de chaque côté.

Grillez les pêches jusqu’à ce qu’elles soient tendres, environ 6 minutes de chaque côté.

*Margarine

La bonne réputation de la margarine lui vient principalement de l’accent mis sur sa teneur en acides gras polyinsaturés, acides considérés comme bénéfiques pour la santé. Ainsi, selon la matière grasse utilisée, la margarine peut contenir jusqu’à 55 % d’acides polyinsaturés alors que le beurre n’en possède au plus que 4 à 5 %. La question n’est pas si simple cependant ; ainsi, la margarine est très souvent hydrogénée, ce qui transforme la nature et la configuration des acides gras, qui deviennent saturés et qui prennent la forme « trans », deux changements qui peuvent avoir des répercussions sur la santé.

En outre, les acides gras polyinsaturés ne sont pas aussi bénéfique qu’on le croyait car on a découvert qu’ils produisent des « radicaux libres » lorsqu’ils sont chauffés, substances qui semblent nocives pour la santé. Il ne faut pas oublier non plus que toutes les margarines ne se valent pas ; ainsi des margarines sont traitées par fractionnement au lieu d’être hydrogénées, ce qui n’entraîne pas la formation des acides « trans », et plusieurs sont fabriquées avec des huiles fortement saturées (huile de coprah, huile de palme, huile de palmiste, gras animal). Il est souvent difficile de connaître la valeur nutritive d’une margarine, en particulier lorsque l’étiquette ne mentionne que « huile végétale » sans en préciser la nature.

La question de savoir s’il vaut mieux consommer du beurre ou de la margarine est débattue depuis plusieurs années et donne lieu à des prises de position souvent radicales. La polémique risque de durer un bon moment car des intérêts financiers considérables sont en jeu et les industries qui produisent ces aliments sont puissantes et bien organisées. Si on aborde le problème uniquement sous l’aspect de l’apport en matières grasses et en calories, la margarine est un aliment dont il faut user avec modération, tout comme le beurre d’ailleurs, car la margarine régulière renferme la même quantité de gras et de calories que le beurre, soit 11 g de matières grasses et 100 calories/15 ml (1 cuillerée à soupe). Si on traite des répercussions sur la santé, la question est plus complexe ; ainsi, la composition et la fabrication des diverses margarines ne sont pas uniformes ; de plus, les margarines ne sont plus les seules à être un produit de synthèse depuis que les fabricants de beurre ont mis sur le marché du beurre mou, qui contient diverses substances absentes du beurre naturel.

Marché Saint-Martin

Marché Saint-Martin à Laval. Photo – GrandQuebec.com.

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