Paupiettes de bœuf

Recette des paupiettes de bœuf

Ingrédients :

  • ½ c. à thé d’huile végétale
  • Quatre steaks d’œil de ronde assez épais de 125 g (4 oz) chacun
  • ¼ de tasse de bouillon de bœuf
  • Une tasse (30 ml) d’échalotes françaises
  • Une tasse (250 g) de champignons frais, tranchés
  • 4 c. à thé (20 ml) de moutarde de Dijon
  • ½ c. à thé de thym séché
  • Un peu de poivre

Cuisson :

  1. Faites chauffer l’huile dans une poêle à feu moyen
  2. Faites-y rissoler les champignons et les échalotes françaises pendant 4-5 minutes en remuant fréquemment. Réservez.
  3. Badigeonnez chaque steak de 1 c. à thé de moutarde de Dijon
  4. Saupoudrez de thym et de poivre et étendez la préparation aux champignons sur chacun des steaks jusqu’à environ 1,25 cm (1/2 po) du bord.
  5. Roulez les steaks et ficelez les paupiettes. Réservez.
  6. Enduisez légèrement une poêle d’huile ou de graisse végétale.
  7. À feu moyen élevé, faites y revenir les paupiettes pendant 4-5 minutes ou jusqu’à la cuisson désirée.
  8. Assaisonnez de nouveau de poivre si vous le souhaitez.

Apport nutritif pour une portion (1 paupiette 140-150 g ou 5 onces): Calories – 180, calories/gras 50, gras saturé – 2 g, total de gras – 6 g, cholestérol – 65 mg, sodium – 234 mg, total d’hydrates de carbone – 3 g, sucres – 0 g, fibres alimentaires – 1 g, protéines – 28 g.

Bœuf (Bos, Bovidés)

Mammifère domestiqué en Macédoine et en Mésopotamie il y a environ 8 mille ans, aussi bien sauvage qu’apprivoisé, le bœuf a été vénéré tout au long de l’histoire humaine et le demeure encore dans certaines parties du globe, en Afrique noire, par exemple. La consommation de bœuf est souvent investie d’un pouvoir symbolique ; c’est un signe de prospérité et un gage de santé.

Il existe plusieurs centaines de races de bœufs et un nombre incalculable de croisements ; environ une trentaine de races seulement sont destinées à la consommation, à cause de leur rendement élevé en viande et de la qualité de leur chair.

En boucherie, le terme bœuf désigne indifféremment la viande de génisse, de vache, de taureau, de taurillon, de bœuf ou de bouvillon, même si la tendreté et la saveur sont loin d’être identiques. L’âge de l’animal, ses conditions de vie et les méthodes d’élevage jouent un rôle important sur la qualité de la viande ; plus l’animal a travaillé fort et est âgé, plus la viande est dure mais plus aussi elle a de la saveur.

Les méthodes de découpage de la carcasse varient selon les pays, ce qui se répercute sur la nomenclature des morceaux. Un fait demeure constant, la carcasse comporte toujours des parties plus tendres que d’autres, parties dites “nobles”; elles ne représentent qu’environ 30% de l’animal et sont donc plus rares, plus en demande et plus coûteuses que les parties moins tendres. Le morceaux moins tendres peuvent donner d’aussi bons résultats s’ils sont bien apprêtés, c’est-à-dire s’ils sont marinés et cuits lentement.

Quelle est la valeur nutritive du bœuf ?

Les matières grasses du bœuf renferment une certaine quantité d’acides gras saturés et de cholestérol. Le tableau ci-dessous indique la valeur nutritive de quelques coupes les plus populaires. Le bœuf est une bonne source de protéines, de fer, de zinc, de vitamines du complexe B. La valeur nutritive du bœuf est fort variable car elle dépend de plusieurs facteurs, notamment de la race de l’animal, des méthodes d’élevage, de la coupe, du mode de cuisson et du fait qu’on enlève on non le gras visible.

Terrasses de la rue des Forges
Terrasses de la rue des Forges à Trois-Rivières. Photographie de GrandQuebec.com.

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