
Recette de l’orechiette avec tomates cerise grillées et roquette
Ingrédients :
- Quatre tasses de tomates cerises mûres, rincées et séchées
- Deux gousses d’ail, tranchées finement
- 1/4 tasse d’huile d’olive extra vierge, divisée
- 1 c. à thé de gros sel marin
- 500 g de pâtes orecchiette
- Un oignon rouge moyen, haché grossièrement
- Deux tasses de roquette fraîche déchiquetée
- 1/2 tasse de fromage de chèvre émietté
Préparation :
- Préchauffer le four à 425 °F (220 °C). Mélanger les tomates, l’ail et la moitié de l’huile d’olive dans un plat de cuisson de 23 centimètres.
- Saupoudrer de sel marin, remuer et cuire au four pendant 45 minutes. Les tomates devraient être très douces et légèrement brunies sur le dessus.
- Lorsque les tomates sont presque cuites, cuire les pâtes dans un grand chaudron d’eau bouillante salée.
- Pendant la cuisson des pâtes, faire chauffer le reste de l’huile d’olive dans une grande casserole à feu moyen. Ajouter l’oignon et cuire, en remuant, jusqu’à ce qu’il soit ramolli, de 5 à 7 minutes.
- Lorsque les pâtes sont tendres, bien égoutter et incorporer l’oignon dans la casserole avec les tomates grillées et leurs jus. Ajouter la roquette et remuer à feu doux jusqu’à ce que la roquette soit desséchée. Retirer du feu et incorporer graduellement le fromage de chèvre. Servir immédiatement.
Le choix des ingrédients qui peuvent leur être incorporés est immense (outre les très connues sauces à la tomate ou à la crème, anchois, etc.). Pour diminuer l’ingestion de calories, remplacer les sauces riches et grasses par des légumes, des fines herbes ou des sauces plus légères; délaisser la crème qui sera remplacée par du yogourt ou du lait écrémé ; diminuer la quantité de viande incorporée et choisir de préférence de la volaille ; se servir le plus souvent possible de fromages maigres (cottage, ricotta) et diminuer l’utilisation des fromages gras (pour gratiner par exemple). Remplacer le beurre par de l’huile d’olive diminue la consommation d’acides gras saturés.
Ainsi, la plupart des légumes viennent en contact avec des produits chimiques et une partie de ces substances demeurent sous forme de résidus. Ces résidus peuvent se loger à l’intérieur du légume (contamination systémique) ou rester en surface (contamination topique). On ignore les effets sur la santé de beaucoup de ces produits, surtout à moyen et à long terme. Pour ingérer le moins de résidus possible, laver soigneusement le légume ou le peler (on perd cependant la partie des éléments nutritifs logée dans la peau). La consommation de légumes cultivés biologiquement est une autre solution, qui demeure actuellement une mesure à la portée d’une minorité seulement.
La préparation, l’utilisation et la conservation des légumes influencent leur saveur, leur valeur nutritive, leur texture et leur apparence. Tout comme les fruits, les légumes sont vulnérables à l’air et à la chaleur car ils continuent de vivre même après la cueillette ; on dit qu’ils respirent. Une seule heure passée à la température ambiante les détériore deux fois plus vite que s’ils sont réfrigérés car le rythme de respiration et de mûrissement est plus accéléré (l’épinard, par exemple, va se dégrader 13 fois plus vite à 27 degrés C qu’à 2 degrés C.)
Voir aussi :

Le Cosmos. Illustration par Megan Jorgensen et GrandQuebec.com.
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