
Recette des moules provençales
Ingrédients :
- 2 c. à table d’huile d’olive extra vierge
- 1 oignon, en dès
- 1 tasse d’olives noires dénoyautées
- 2 tomates moyennes, en cubes
- 1 c. à table de piment jalapeno émincé
- 3 gousses d’ail, émincées
- 1 c. à table de thym frais haché
- 2 tasses de bouillon de poulet
- 3 1/2 de moules, lavées et brossées
Cuisson :
- Dans un grand chaudron, faire chauffer l’huile à feu moyen-vif.
- Ajouter l’oignon et faire cuire jusqu’à ce qu’il soit ramolli.
- Incorporer les olives, les tomates, le piment jalapeno, l’ail et le thym.
- Faire sauter pendant trois minutes.
- Ajouter le bouillon et faire chauffer jusqu’à ce que la vapeur s’échappe.
- Incorporér les moules.
- Couvrir et faire cuivre, en remuant de temps à l’autre, pendant une dizaine de minutes ou jusqu’à ce que toutes les moules soient ouvertes.
- Jeter les moules qui sont demeurées fermées.
Donne 4 portions.
Comment utiliser la châtaigne ?
On peut utiliser la châtaigne de façons très différentes. La manière la plus connue est sûrement en confiserie (marron glacée) où la châtaigne est confite au sucre. La châtaigne peut servir de légume d’accompagnement – elle remplace notamment la pomme de terre – , elle peut être cuite en galette (polenta), se mettre dans les soupes, salades ou farces, être transformée en farine, être déshydratée, etc. On en fait de la confiture, de la purée, des glaces, des conserves et des tartes. En Europe, la châtaigne est traditionnellement associée au gibier et à la volaille, surtout pendant la période de Noël et du Nouvel An.
Comment conserver la châtaigne ?
La conservation de la châtaigne est plutôt simple : la conserver dans un endroit frais et sec à l’abri des rongeurs et des insectes. Pelée et cuite, elle se conserve quelques jours au réfrigérateur. On peut la congeler, crue ou cuite, avec ou sans son enveloppe ; sa durée de conservation est alros d’environ six mois.
Moule
(Mytulus edulis, Mytillidés).
Mollusque bivalve qui vit dans la mer près des côtes ou en eau douce. La moule s’accroche en grappes et se fixe sur les bancs de sable, les rochers ou tout autre objet grâce à sa capacité de sécréter un liquide filamenteux appelé « bypass ».
La plupart des moules sur le marché sont cultivées. Cette possibilité semble avoir été découverte par hasard il y a plus de 700 ans par un Irlandais naufragé sur les côtes françaises. Une légende dit qu’il planta des pieux pour installer des filets afin d’être en mesure de se nourrir ; en revenant sur les lieux de son naufrage quelques années plus tard, il constata que les moules avaient recouvert les pieux.
La moule a deux minces valves oblongues d’égale grosseur, un peu en forme de poires, habituellement lisses mais parfois striéesconcentriquement, de couleur noir bleauâtre, avec souvent des parties érodées pourprées. Les deux valves de la moule cultivée sont convexes tandis que chez la moule sauvage une des valves est concave. Leur intérieure est poli, luisant est irisé de blanc ou de gris pâle tandis que leurs bords sont plus foncés ou tout simplement pourpres. La moule atteint habituellement de 6 à 10 cm de long. Les ligaments qui la maintiennent fermée ressortent à l’extérieur. Il existe environ 40 espèces de moules en Amérique du Nord.

Cathedrale de l’Assomption de Trois-Rivières. Photographie : GrandQuebec.com.
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