Recette de la garniture aux cerises et amandes
Pour préparer la garniture aux cerises et amandes :
- Mélangez trois tasses de gros flocons d’avoine
- 2/3 tasse de farine de blé entier
- 1/2 tasse d’amandes tranchées
- Une tasse de cerises séchées et hachées grossièrement
- 1/2 c. à thé de cannelle
- 1/2 tasse de cassonade tassée
- 1/8 c. à thé de muscade
- Incorporez 1/2 tasse de margarine molle non hydrogénée
Saupoudrer les fruits et cuire au four de 40 à 45 minutes jusqu’à ce que le mélange bouillonne.
On peut utiliser les pruneaux dans cette recette :
Pruneau (Prunus domestica, famille des Rosacées) – prune déshydratée.
Seules certaines variétés de l’espèce Prunes domestica sont utilisées, dont la prune d’Ente. Les prunes furent longtemps séchées au soleil ; les méthodes industrielles actuelles utilisent des fours, ce qui accélère le processus qui ne dure plus que de 15 à 24 heures. Trois kilos de prunes donnent un kilo de pruneaux.
Valeur nutritive du pruneau : La déshydratation aumente considérablement la valeur nutritive des prunes ; comme tous les fruits séchés, elles sont calorifiques. Selon leur degré de déshydratation, les pruneaux contiennent de 3 à 4 g de protéines, des matières grasses à l’état de traces, de 60 à 90 g d’hydrates de carbone et de 240 à 340 calories/100 g. Ils sont riches en potassium, en calcium, en fer, en vitamines A et B et en fibres. Ils ont ont une action laxative, surtout s’ils ont trempé et sont mangés avant le coucher (2 ou 3). Le jus a aussi des propriétés laxatives.
Utilisation des pruneaux : Les pruneaux sont souvent mangés tels quels. Ils peuvent s’intégrer à diverses préparations (gâteaux, pains, biscuits, muffins, glaces, puddings, etc.) on peuvent être cuits (crèmes, compotes, sauces, etc.) Ils accompagnent viandes, volailles et poissons ; le lapin aux pruneaux est une recette classique. Tremper les pruneaux dans de l’eau, du jus ou de l’alcool peut remplacer ou raccourcir leur cuisson.
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Curieusement, cette garniture peut servir pour réhausser le goût des filets du poisson. Plusieurs méthodes sont possibles pour éviscérer le poisson, c’est-à-dire le vider en enlevant les entrailles. La plus facile est de procéder par le ventre, en faisant une incision de l’anus jusqu’aux ouïes, avec la pointe d’un bon couteau ou avec des ciseaux ; décoller les viscères puis les retirer. Cette méthode a le désavantage d’ouvrir les flancs du poisson, ce qui le déforme et le rend plus difficile à farcir.
On peut aussi le vider en effectuant une petit incision (1 ou 2 cm de long) près des ouïes, puis on la pousse par en arrière assez délicatement pour que les viscères suivant. Les gros poissons vivants (flétan, turbot, barbue) doivent tout d’abord saigner complètement avant de les vider. Les sectionner près de la queue. Parfois, dans certaines espèces, le foie, les rogues (poches à œufs) ou la laitance sont comestibles. Bien laver le poisson à l’eau courante avant de l’apprêter en procédant rapidement. Si la cavité ventrale reste fermé, y faire pénétrer de l’eau avec force.
Pour en apprendre plus :
- Croustades
- Garniture aux noix et au gingembre
- Garniture de croquant à l’érable
- Tartinade à sandwich aux tomates séchées au soleil
- Tartinade à sandwich au chili et à la lime
- Tartinade santé à sandwich au raifort piquant
- Sandwich santé