
Recette du brie recouvert de noix, de pacanes et de canneberges confites
Ingrédients :
- ¼ de tasse de cassonade tassée
- ¼ de tasse de sirop de maïs
- ¼ de tasse de sirop d’érable
- 1/3 de tasse de beurre
- ½ culière à thé de bicarbonate de soude*
- Une tasse de noix en moitié
- Une tasse de pacanes en moitié
- Une tasse de canneberges séchées sucrées
- Une culière à thé de sauce piquante
- ½ culière à thé de sel
- Une rondelle de 5 pouces de brie amandine
- Des morceaux de cédrat si désiré (voir l’explication).
Préparation :
- Combiner la cassonade, les sirops et le beurre dans une casserole ;
- Porter à ébullition à feu moyen en remuant ;
- Laisser bouillir lentement sans remuer pendant 2 minutes ;
- Retirer du feu ;
- Tout en se protégeant bien les mains, ajouter le bicarbonate de soude en fouettant ;
- Incorporer les noix, les pacanes, les canneberges séchées, la sauce piquante et le sel en remuant une minute, jusqu’à ce que le mélange commence à prendre ;
- Verser le mélange chaud sur le brie, couvrir et laisser prendre au réfrigérateur.
Servir à la température de la pièce. Se conserve 2 à 3 jours.
* Bicarbonate de sodium
Sel alcalin très utilisé en cuisine, vendu sous forme de poudre blanche. Le bicarbonate de sodium (ou bicarbonate de soude) fut inventé vers le milieu du XIXe siècle aux États-Unis. Cette découverte chambarda les habitudes culinaires, facilitant et permettant l’essor de la fabrication de gâteaux, biscuits, pâtisseries, etc. Au Québec, on désigne souvent incorrectement cette substance par l’expression « soda à pâte », une traduction de l’anglais « baking soda ».
On obtint d’abord le bicarbonate de sodium en traitant de la cendre de soude au gaz carbonique. Le procédé de fabrication le plus courant maintenant consiste à introduire de l’eau saumurée dans d’énormes réservoirs contenant de l’ammoniac ; le mélange entre ensuite en contact avec du gaz carbonique, ce qui crée le bicarbonate de sodium. Cette substance insoluble se précipite au fond des récipients ; elle est alors filtrée, lavée à l’eau froide, séchée, puis moulue en une fine poudre.
Cédrat
(Citrus medica, Aurantiacées) – Fruit du cédratier, arbre que l’on croit originaire de Chine ou de Perse. La culture du cédrat remonte aux temps anciens, des documents datant de 300 ans av. J.-C. en attestent la pratique. Dans la religion juive, on pense que le cédrat serait le fruit de la connaissance dans lequel Adam aurait mordu. Ce fruit est cultivé intensivement en Corse et dans une moindre mesure aux Antilles et en Grèce.
Utilisation du cédrat : Le cédrat ressemble à un immense citron difforme ayant un peu la pore d’une poire ; il peut peser jusqu’à 9 kg. Son écorce jaune verdâtre est épaisse et verruqueuse. La plupart des variétés sont très acides.
Le cédrat est rarement vendu frais ; sa pulpe et son écorce sont surtout confites. On le mange en friandise ou on s’en sert en pâtisserie et en confiserie ; on l’incorpore notamment dans les gâteaux, les biscuits et les puddings et on l’utilise à des fins décoratives. En Corse, on se sert du cédrat pour préparer une liqueur, la cératine, ainsi que des bonbons.
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Un bâtiment imposant sur la rue McGill dans le Quartier international. Photo de GrandQuebec.com.
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