
Recette des barres aux canneberges et au chocolat blanc
Base :
- 200 g de pâte feuilletée surgelée, dégelée ;
- Une culière à table de sucre granulé* ;
- Une culière à thé de cannelle.
Garniture :
- 300 g de chocolat blanc ;
- Une tasse de crème sure ;
- 1/2 tasse de margarine ;
- Une tasse de canneberges hachées, fraîches ou surgelées.
Préchauffez le four à 190 C ( 375 °F ).
Roulez la pâte feuilletée en un rectangle de 40 sur 25 cm, placez dans un plat de cuisson graissé d’environ 35 sur 23 cm). Saupoudrez la pâte de sucre et de cannelle.
Cuisissiez au four pendant une demi-heure ou jusqu’à ce que la pâte soit dorée.
Mélangez les ingrédients de la garniture dans un bol allant au four et le mettre au four pendant cinq minutes ou jusqu’à ce que le chocolat soit tendre.
Retirez du four, et remuez jusqu’à consistance crémeuse. Utilisez une cuillère pour craqueler la surface feuilletée de la pâte et la rendre égale.
Versez la garniture sur la pâte chaude. Laissez refroidir et réfrigérer jusqu’au lendemain.
Servir froid !
*Sucre granulé : les hydrates de carbone contribuent au bon fonctionnement des cellules et des tissus de l’organisme humain. Ils fournissent énergie et chaleur lus ou moins rapidement. On soutient depuis longtemps que les sucres complexes sont digérés plus lentement que les sucres simples ; des recherches récentes démontrent que cette affirmation doit être nuancée. Certains aliments riches en sucres complexes augmentent le glucose sanguin aussi rapidement que les sucres simples, la pomme de terre entre autres. Cette découverte oblige à revoir la classification que l’on faisait des sucres. Comme le sel, le sucre a un pouvoir de rétention des liquides; c’est pourquoi on peut sentir la soif après l’ingestion d’aliments sucrés.
Une surconsommation de sucre serait un phénomène déterminant dans l’apparition de la carie dentaire et de diverses maladies (obésité, artériosclérose, maladies coronariennes, diabète, etc.). Les conséquences sur la santé de cette surconsommation ne font pas encore l’unanimité cependant. Ainsi, l’industrie du sucre et certains secteurs de l’industrie agro-alimentaire contestent les recherches qui démontrent les effets nocifs du sucre ; une baisse de la consommation du sucre a des répercussions sur leurs profits. On note le même scénario qu’avec le beurre, les œufs, la viande et tous les aliments controversés ; les industriels rejettent très souvent les découvertes qui dénoncent leurs produits et trouvent toujours un certain nombre de chercheurs pour confirmer les bienfaits de ces aliments. Le public impuissant est bombardé d’informations souvent contradictoires dont il peut difficilement juger la pertinence.
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Bassin du Vieux-Port de Montréal. Photo de GrandQuebec.com.
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