
Recette des barres streusel aux bleuets et à l’avoine
Croûte :
- 3/4 tasse de margarine (175 ml) ;
- 1/2 tasse de cassonade (125 ml) ;
- 2 tasses de farine tout usage (500 ml).
Garniture :
- Une boîte de 20 oz de garniture pour tarte aux bleuets ;
- Une culière à table de zeste de citron
Glaçage :
- 1/2 tasse de margarine ;
- 3/4 tasse de cassonade ;
- 1/2 tasse de farine tout usage ;
- 11/2 tasse de flocons d’avoine
- 1/2 culière à thé de cannelle.
Préparation :
Préchauffez le four à 180 °C ( 350F ).
Pour préparer la croûte, battez la margarine et la cassonade jusqu’à consistance crémeuse.
Ajoutez lentement la farine en remuant. Abaissez la pâte dans un plat de cuisson graissé de 30 x 20 cm, en tapotant uniformément la pâte au fond et sur les parois. Cuisez au four la croûte pendant 15 minutes. Laissez refroidir.
Dans un bol moyen, mélangez la garniture pour tarte et le zeste de citron.
Pour le glaçage au streusel, battez la margarine et la cassonade jusqu’à consistance crémeuse. Ajoutez lentement la farine, les flocons d’avoine et la cannelle jusqu’à ce que le mélange soit uniforme avec une consistance friable.
Étendez le mélange aux bleuets sur la croûte cuite. Parsemez du mélange au streusel et cuisez au four pendant 30 minutes ou jusqu’à ce que le dessus soit croquant et doré.
Laissez refroidir pendant 15 minutes.
Donne quelques quarante barres.
On peut substituer l’avoine par la quinoa dans cette recette :
Quinoa (Chenopodium quinoa, famille des Chénopodiacées) : Plante annuellevoriginaire d’Amérique du Sud, plus particulièrement de la région andine. Cette plante, qui atteint de 1 à 2 mètres de hauteur, produit d’abondantes graines minuscules qui ressemblent à celles du millet, tout en étant légèrement aplaties. Elle supporte des conditions que la plupart des autres végétaux n’aiment pas, notamment des terraines arides et sablonneux, des températures froides, la sécheresse et l’altitude.
Le quinoas est cultivé en Amérique du Sud depuis plus de 5 000 ans. Il constituait la base de l’alimentation des peuples andins, en compagnie de la pomme de terre, de la courge et du maïs. Il était considéré comme sacré par les Incas, qui l’appelaient « le grain mère ». Depuis la Conquête, la culture du quinoa a graduellement décliné au fil des siècles. Inconnu en Amérique du Nord jusqu’à tout récemment, le quinoa gagne lentement en popularité grâce à deux Américains qui décidèrent, en 1982, d’implanter sa culture au Colorado.
Traité comme une céréale, le quinoa est en réalité le fruit d’une plante appartenant à une tout autre famille, qui comprend entre autres la bette et l’épinard. Il en existe plus d’une centaine de variétés, ce qui se répercute notamment sur la couleur des grains, qui prennent des teintes variées, entre autres de rouge, de jaunâtre, d’orange, de rose, de pourpre et de bleu noirâtre. Le quinoa sur le marché est habituellement jaunâtre. Commercialisé surtout dans les magasins d’alimentation naturelle, il coûte passablement cher.
Quelle est la valeur nutritive de la quinoa ?
Les grains sont recouverts de saponine, une substance amère qui mousse lorsqu’elle vient en contact avec de l’eau et qui doit être enlevée pour que les grains soient comestibles. On les lave dans une solution alcaline ou on les nettoie par frottage à sec.
La quinoa contient 14 g de protéines, 7 g de matières grasses, 67 g d’hydrates de carbone et 352 calories/100 g. Il est riche en calcium, en fer, en phosphore et en vitamine E. Il contient plus de protéines que la plupart des céréales, et les protéines sont de meilleur qualité car ses acides aminés sont plus équilibrés. La lysine notamment est plus abondante, ainsi que la méthionine et la cystine. C’est un aliment qui complète bien les céréales, les légumineuses, les noix et les graines.
Lire aussi :

Rue de la Commune, photo de GrandQuebec.com.
Facebook
Twitter
RSS