Destinations touristiques au Québec : Destination Péninsule Manicouagan
Situé à 10 minutes de Baie-Comeau, le territoire de la Péninsule est une destination vacances nature unique, qui gagne à être connue. C’est un coin de pays, empreint de beauté regorgeant de richesse, que je vous invite à découvrir.
La route des vacances est remplie de surprises pour ceux et celles qui veulent bien se prêter au jeu et explorer. Souvent, il faut savoir quitter la route principale afin de découvrir les trésors que recèle une région. Il y a des endroits où il est agréable de marcher, s’arrêter et contempler. Il y a des endroits où la nature nous a laissé de petits trésors cachés qui ne demandent qu’à être découverts. Il y a des endroits où la nature, l’environnement sont uniques, qui nous laissent croire que tout est possible où le rêve et l’horizon n’ont pas de limite. Il y a un endroit comme la péninsule qui ne demande qu’on lui rende visite afin qu’elle puisse nous faire rire, sourire, réchauffer, dorloter, juste se faire plaisir à soi. Amateurs d’activités de plein air, de culture, d’histoire ou tout simplement pour une balade sur la plage et faire un pique-nique à l’une de nos magnifiques haltes, la Péninsule Manicouagan saura vous séduire à coup sûr! Pour un arrêt de quelques heures à un séjour d’un à plusieurs jours, vous serez gâter par la panoplie d’activités qu’offre la région.
ICI, la Péninsule devient une expérience d’envoûtement où vous vivrez des petits bonheurs grandeur nature. C’est avec une passion contagieuse que les gens d’ici sont prêts à vous accueillir. ICI vous trouverez un vaste éventail de produits, d’activités, de saveurs et de talents de chez nous. Les intervenants ne cessent de se renouveler et, par leur savoir-faire et leur créativité, donnent aux visiteurs de nouvelles raisons de venir à notre rencontre et d’y prolonger leur séjour d’une journée pour profiter davantage de tout ce que nous avons à leur offrir.
Baignade à marée montante, plage de Pointe Lebel. Photo : © Véronique Poulin
Émerveillement et plaisir sauront faire de votre séjour un moment inoubliable. Observation de mammifères marins, canot-kayak, équitation, observation et interprétation de la nature, avec ses 40 km et plus de sentiers pédestres, piste cyclable et ses sentiers de VTT, pour ne nommer que ceux-ci. OUF!
Vous n’aurez peut-être pas le temps de tout faire lors d’une première visite, il vous faudra revenir. La Péninsule Manicouagan est une destination par excellence pour le plus fin des observateurs qui se cache en vous. L’embouchure du fleuve St-Laurent et de la rivière aux Outardes offre aux amateurs d’ornithologie un site d’observation par excellence. L’abondance des aliments et les nombreux sites de nidifications font que vous pourrez y observer une multitude d’espèces ; plus de 210 espèces d’oiseaux terrestres et marins sont répertoriés, ce qui en fait un endroit privilégié à découvrir.
Un des attraits les plus importants est nul autre que l’accueil de la population locale. Chaleureux et amoureux de leur terroir, fiers et courtois, leurs services touristiques (gîtes, motel, site de camping, épicerie fine, restaurants) sauront combler votre séjour et satisfaire vos désirs de vacanciers.
La Péninsule Manicouagan regroupe quatre municipalités, Chute-aux-Outardes, Pointe-Lebel, Pointe-aux-Outardes et Ragueneau, qui se sont regroupées dans un but commun d’offrir l’excellence en service à la clientèle et pour un développement touristique coordonné sur le territoire.
La Péninsule Manicouagan est un détour qui séduira votre âme contemplative ou aventurière. Pour réveiller votre cœur d’enfants, je vous suggère fortement d’insérer la Péninsule dans votre parcours estival.
Bon été et au plaisir de vous croiser sur la route de la Péninsule
Martine Salomon
Coordonnatrice
peninsulemanicouagan.qc.ca
Canton de Clément
Situé au nord-est du réservoir Manicouagan, ce canton dont les sommets s’élèvent au moins à 750 mètres de part et d’autre de la rivière Thémines a été désigné en l’honneur d’Hercule Clément (1820-1891). Ce prêtre oblat fit son ministère chez les Amérindiens de l’Abitibi et du Témiscamingue, sur la Côte-Nord, à Maniwaki, aux missions du Saint-Maurice et à la Baie—James. Après avoir été dispensé de ses vœux en 1854, il se rallia au sacerdoce séculier, revint ensuite chez les Oblats, puis ‘occupa de la cure de Sainte-Rose-de-Lima, à Laval, et de Rawdon. Retiré à Saint-Gabriel-de-Brandon, il y mourut après avoir été heurté par une locomotive.
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