
Centre d’interprétation de Clarke City
C’est en 1903 que les frères William et James Clarke fondent Clarke City et y érigent un moulin à papier en 1903 et une centrale hydroélectrique en 1908 afin de fournir du papier à leur maison d’édition des publications à gros tirage à Toronto et à New-York. Plus tard, les frères font construire dans la Côte-Nord le premier chemin de fer et, à partir de l’année 1920, ils assurent le transport maritime dans la région.
La célèbre Clarke City, devient la première des villes fermées au Québec, cité modèle, qui est devenu un des quartiers de Sept-Îles en 1970.
Aujourd’hui, le Centre d’interprétation de Clarke City témoigne de cette époque des fondateurs du village.
Une locomotive, témoin du temps de Clarke City, se trouve au site du Centre d’interprétation, témoignant de l’aménagement des agglomérations fermées qui appartenaient à des compagnies privées.

Clarke city. Photo libre de droit.
Le Centre d’interprétation est ouvert en saison estivale, de la fin juin à la mi-août, tous les jours.
Pour contacter le Centre d’interprétation de Clarke City :
160 rue du Moulin,
C.P. 8
Clarke City
Québec
G0G 1H0.
Téléphone : 418 583-2223.
Historique de Clarke City
Le secteur de Clarke City, situé dans la partie ouest de la ville de Sept-Îles, s’est implanté sur les rives sablonneuses de la rivière Sainte-Marguerite, à 7 km en amont de sa confluence avec le fleuve Saint-Laurent. À la fin du XIXe siècle, l’endroit ne compte que quelques familles, de pêcheurs et de chasseurs. Les frères Clarke, soit George, James, John et William, de New York et de Toronto, y débarquent pour leur expédition de pêche puis, au début du XXe siècle, ils y viennent à la recherche de bois, dans la perspective de produire le papier nécessaire à l’impression du Century Dictionary et de l’Encyclopaedia Britannica dont ils sont les éditeurs. La matière première est abondante, l’exploitation forestière fort prometteuse.
De 1903 à 1908, ils construisent un moulin à papier puis, en 1908, la centrale hydroélectrique est inaugurée. Celle-ci approvisionne le moulin en énergie de même que le nouveau village de Clarke City, nommé ainsi en l’honneur de ses fondateurs. La même année, s’ouvrent les registres de la paroisse Saint-Cœurs-de-Marie et la population s’élève à environ 400 personnes. Les frères Clarke établissent une première liaison de chemin de fer sur la Côte-Nord entre Clarke City et la pointe Noire, dans la baie des Sept Îles.
En 1921, la seconde génération de Clarke, avec Desmond (1892 – 1976), le fils de William, crée une importante compagnie de navigation, toujours existante, dont les navires équipés de chambres froides fréquentent plusieurs ports de la côte. L’utilisation de ces bâtiments à des fins de cabotage entraîne l’établissement d’entrepôts frigorifiques dans les centres de pêche et insuffle un nouveau dynamisme à cette industrie locale. Au cours de l’année 1967, le dernier propriétaire de l’entreprise, la compagnie Gulf and Paper, met un terme à ses activités forestières et, en 1968, le barrage est vendu à la compagnie minière I.O.C. (Iron Ore Company). Clarke City, que les Montagnais appellent Misseku Kapitakan, portage de la savane, portage marécageux, est annexé à Sept-Îles en 1970. Ces dernières années, il a été constaté que le toponyme Clarke tend à supplanter Clarke City.
Chute d’Aval
La chute d’Aval est située à la limite ouest de la ville de Sept-Îles, sur la Côte-Nord, plus précisément à Clarke-City. Cette entité hydrographique perturbe le cours de la rivière Sainte-Marguerite, à 7 km en amont de sa confluence avec le Saint-Laurent. Pour connaître l’origine de la dénomination Chute d’Aval, il suffit de mentionner l’existence, 3 km plus haut et sur le même cours d’eau, de la chute d’Amont. On sait que l’aval est la partie d’un cours d’eau la plus rapprochée de son embouchure tandis que l’amont en est la plus éloignée.
J’aimerais savoir si il y a une tombe dans le cimetière de Blanche Cormier ou de Albertine Cormier, toutes 2 mortes jeunes elles doivent être née après 1911, si vous pouvez m’envoyer par couriel une photo de la tombe ou des tombes ce serait très apprécié.
Merci
Bonjour
nous arrivons d’une tournée de votre région,
magnifique, bravo a la jeune fille qui nous a recu
MPa et Stan
Bonjour,je possede un camp de chasse depuis 30ans ,situé sur l ancien chemin de chantier (jobber thiffault & Caron a ce que l on m a dit)Simone Langlois fesait le transport des pitounes.J ai rammassé quelques reliques des vieux camps de bucheux qui doivent daté des années 1950 si vous les vouler elles sont a vous.Parcontre je cherche l historiques de ce chantier,le nom des gens,vieilles cartes,photos,les années précises des opérations etc.
je vous remercie a l avance
Guy
julie,je suis originaire de clarke city,je demeure non loin du cimetière je vais vérifier pour les 2 sépultures ,s’il y as autre chose conctacté mo,i à plus
Bonjour m. Thériault, je demeure a Matane et il y avait un m.Sam Lafontaine qui était jobber forestier vers le début des années 1900 jusqu’à 1950. Il était marié a mme Joséphine Thériault de Clarke city. Je me demandais s’il y a une quelconque parenté avec vous. Merci
En réponse à la personne de Matane, concernant le contracteur forestier, du nom de Sam Lafontaine domicilié à Matane, marié à Joséphine Therriault. Leur maison était situé environ ou le centre d’achats présentement à Matane.
Je suis la fille de Roland Therriault de Ste-Marguerite ( Gallix) lui aussi contracteur forestier à Clarke City, dans les années de la Gulf Pulp ans Paper, il contractait sur la rivière Ste Marguerite, dans les 50, il était le frère de Joséphine. Donc c’était ma tante.
Je vais travailler a Pte Noir dans 2 semaines et je vourais savoir s’il y a de l’hebergement ( chambre , chalet …) de disponible a Clarke city.
je suis nee a Clarke City en 1950. Mes grandparents sont Gregoire et Annie Jomphe. Je me demande si vous avez des photos de Gregoire ou de la famille Jomphe entre 1922 et 1950. Mon pere est Omer C Gionet et lui aussi travaillait a Clarke City. Avez vous des renseignments a leurs sujets. Nous sommes demenages a Sept Iles en 1950. J’habite maintenant la Californie.
Bonjour a vous. Je suis né a La malbaie dans charlevoix mais mon grand=père paternel qui était chirurgien dentiste faisait la tournée de la côte nord une fois par année, jusqu’ à Natashcouan. ET il s’arêtait toujours a Clarke city. J’ai énormément de photos de ce temps là ( des années 50 a 70) l’an passé j’ai fait un esp`ce de pélerinage sur ses traces. Je suis arrêté a Clarke city et j’ai pris une photo de votre train….qui apparait sur une photo de mon grand-père il y a 50 ans. Magnifique petit village. Beaucoup d’émotions pour moi.
Bonjour, j’aimerais savoir s’il existe un site internet ou nous pouvons avoir des images du début de Clark City. Mon père est née dans les débuts de cette ville et j’aimerais joindre un peu d’histoire et des photos à ma généalogie. S’il existe un livre qui relate cette histoire, comment puis-je me le procurer?
Merci Gérard Thomas Rouyn-Noranda J9X 1B2
Pour Gérard….Les amis de Clarke City et Gallix sur facebook…….
Il existe un livre..Histoire de Clarke city….communiqez avec Le Centre d’Interpretation de Clarke City
Bonjour,
Vous avez un site formidable, bravo
Un seul Bmol pour moi, je ne vois rien sur Shelter Bay et qui est devenu avec l arrivé de la QCM, Port Cartier.
Tres beau coin de pays.
Shelter Bay de 1915 a 1959… j y suis né en 1944 et mes grand parents etaient des premiers fondateurs de la petit municipalité.
Il y a meme un monsieur Champagne liste a la société de la cote nord de baie comeau qui a écrit un livre illustréde shelter bay de 1915 a 1959. j essais d avoir le livre mais sans redultat s a ce jours.
J ai beaucoup de photo de ce temps et du temps de mes grands parents.
si vous aviez une rubrique peut etre que l on pourrait rejoindre des anciens comme moi
Merci et bravo encore
Paul
Bonsoir!
Je possède ce livre de Ludger Champagne, acheté en 2006, ici à Port-Cartier, et signé par Mr. Champagne. Sans doute vous pourriez avoir plus de détails en communiquant avec la société historique et patrimoniale de Port-Cartier, par l’entremise de la ville de Port-Cartier, téléphone: (418) 766-2343.
Merci, Paul.
Quant à Port-Cartier, la ville est est répertoriée dans la section Villes du Québec, là voici: http://grandquebec.com/villes-quebec/port-cartier
Si vous avez des corrections, des ajouts, etc., n’hésitez pas à y laisser vos commentaires.
Bonne journée!
Excellent site web où l’on retrouve beaucoup d’informations sur l’histoire de ces deux municipalités dont plusieurs de nos ancêtres y ont travaillé au tout début avec les Clarkes et la Gulf and Paper. Plusieurs ancêtres se rendaient dans les camps forestiers à partir de villages de la Côte Nord et de la Rive-Sud. Beaucoup d’entre eux sont tous des descendants de familles Acadiennes que l’on retrouve partout au Québec.