Voyager en commodité
Les gens ont toujours rêvé de voyager. Cependant, dans le passé, un voyage de longue distance prenait des semaines ou même des mois. Vers le XVIIe siècle, même si les conditions étaient favorables, la durée d’un voyage entre deux villes distancées de quelques centaines de kilomètres était imprévisible. Par exemple, pour couvrir la distance de moins de 250 kilomètres entre la ville de Québec et Montréal, on dépensait jusqu’à deux semaines pour remonter le Saint-Laurent. Et pour arriver aux Grands lacs, un coureur de bois, bénéficiant du temps exceptionnel, mettait trois mois, même avec des cartes géographiques actualisées.
D’ailleurs, lors des traversées de l’océan, les conditions de vie à bord des vaisseaux étaient détestables, tout comme lors d’un voyage le long des chemins incroyablement mauvais.
Plus tard, au XIXe siècle, avec l’arrivée des chemins de fer, même si la durée du voyage était devenue beaucoup plus courte, les conditions restaient toujours extrêmement inconfortables. D’ailleurs, les prix des billets n’étaient pas accessibles pour un citoyen moyen, le fait qui ne favoriserait guère le désir des gens d’entreprendre de longues traversées…
Et c’est aujourd’hui seulement qu’on peut enfin réaliser ce rêve éternel des êtres humains de parcourir le monde, de choisir le moyen que l’on préfère, de voyager sans payer des prix exorbitants et sans passer de longues journées dans des conditions difficiles…
Aujourd’hui, on peut choisir la compagnie aérienne la plus convenable et traverser le Canada entier en espace de quelques heures, tandis qu’un vol entre Québec et Montréal ne prendra qu’une demi-heure. Pour trouver la meilleure compagnie et le meilleur prix, on ne dépense que quelques minutes grâce à l’Internet, où des sites spécialisés, tels l’Easyvols, offrent la possibilité de visualiser un grand nombre de différentes compagnies aériennes canadiennes et étrangères et de trouver le juste prix, l’horaire, l’aéroport et d’en choisir la meilleure option en quelques clics.
En fait, de nos jours, ce ne sont pas les compagnies aériennes qui manquent et c’est plutôt les choix trop nombreux qui causent le plus de problèmes. Il est impossible de trouver la meilleure option sans faire recours au comparateurs de vol qui se prennent la mission d’aider le voyageur à faire le meilleur choix, de réserver un vol à bas coût et d’acheter les billets à temps. Bref, utiliser les services des comparateurs de vols, tels que l’Easyvols, est une excellente solution économique pour dénicher le vol au tarif le moins cher.
Personne ne peut nier que pour un habitant du Canada, même de la seconde moitié du XXe siècle, ces services auraient parus un miracle – trouver une compagnie aérienne, choisir le vol convenable, réserver le billet et l’acheter sans sortir de la maison. L’utilisation d’un site web qui agit en intermédiaire utile relie le voyageur avec les transporteurs aériens et vous aide à acheter les billets dans la commodité de votre foyer. Aujourd’hui, on prépare son voyage autrement, et ce que paraissait un miracle il y a une vingtaine d’années, est devenu une réalité agréable. Alors, profitons-en et voyagerons un peu partout au monde, si la technologie nous le permet !
Quelques voyages au XVIIe siècle
La voyageur se plaint volontiers. Aujourd’hui, ceux qui ont la chance de partir pour quelque villégiature estivale se lamentent à l’arrivée de la longueur du trajet, de la chaleur dans le train, de l’inconfort des voitures, que sais-je encore? Mais qu’ils se reportent donc trois siècles en arrière et qu’ils imaginent ce que pouvait être la joie du voyage au temps de Louis XIV.
En 1681, Regnard, partant de Paris pour son voyage en Hollande, monta dans le « carrosse de Bruxelles » et coucha successivement (car à cette époque on ne voyageait que de jours: à Senlis, Gournai, Péronne, Cambrai, Valenciennes, Mons, Notre-Dame-de-Halle et Bruxelles. Soit huit jours pour aller de Paris à Bruxelles. Quatre-vingt ans plus tard, de grands progrès avaient été réalisés.
La diligence de Lyon partait tous les deux jours de Paris à 4 heures du matin et arrivait à Lyon en cinq jours en été, en six jours en hiver. Elle faisait vingt lieues par jour. Les entrepreneurs de transport avaient eu soin d’établir dans « l’hôtel des diligences » une chapelle où l’on dit la messe pour les voyageurs à trois heures et demie du matin, les jours de dimanches et fêtes. Le trajet Paris – Lyon coûtait 100 livres par personne et 6 livres « pour les hardes ».
La malle-poste mettait 66 heures en 1814, 47 heures en 1829, 35 heures en 1840, 33 heures en 1841. Toujours avec des chevaux naturellement, voyageant nuit et jour.
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