Le climat au Québec : Réchauffement global et nous…
Le climat au Québec est influencé par des masses d’air, apportées par des courants marins de l’Arctique et par des masses d’air continentales.
Cette caractéristique est la raison principale des froids de l’hiver québécois, alors que Montréal se trouve à la latitude des villes européennes ayant des hivers fort agréables,
La période d’enneigement varie d’une région à l’autre et dure de 3 à 4 mois à Montréal. Toutefois, à Québec la période de la neige est plus longue et les froids sont plus intenses.
Dans quelques régions, la neige se maintient jusqu’à vingt trois semaines et on ne parle pas des zones du Nord extrême. L’hiver est en général froid et sec. Les températures descendent à – 25° C -30° C en janvier et février, on a vu des records de – 39° C, quoique les températures moyennes soient cependant moins redoutables. Les lacs et les rivières gèlent et il faut attendre le début du mois d’avril pour voir les cours d’eau couler.
*
Au Québec, l’hiver, c’est la saison la plus dangereuse, des mesures contre le froid et l’hypothermie sont à ne pas manquer.
Par contre, le printemps est tardif et court qui ne dure que deux semaines. Les bourgeons font leur apparition à la fin avril, début mai. Il s’agit alors d’une véritable explosion de couleur verte.
Les gens se débarrassent enfin de leurs habits d’hiver. Pourtant, le court printemps est propice aux confusions. En effet, on peut voir des gens en vêtements d’hiver qui se baladent en parlant avec leurs amis en T-shirts et shorts.
L’été est chaud, avec des semaines de véritable canicule. Cette période des températures chaudes à l’extrême est chaque fois plus longue à cause du réchauffement global.
L’automne, c’est beau, les températures ne sont pas trop basses. Aussi des pluies sont relativement courtes et l’été indien frappe en octobre, prorogeant l’agonie de l’été par une semaine ou deux.
La nature prend des colorations extraordinaires. Les érables rouges enflamment les forêts, quoique dernièrement, les immigrants de Norvège, les érables jaunes font déplacer les indigènes et occupent le pourcentage chaque fois plus grand des territoires des forêts québécoises.

Voir aussi :
- Rivières, lacs et autres plans d’eau
- Parcs et forêts
- Bestiaire du Québec
- Dépression hivernale
- Hiver, catastrophe économique ?
- Agonie de l’hiver