
Éco parc des Etchemins
L’Éco parc des Étchemins est un charmant site récréotouristique pour toute la famille, situé aux abords du lac Etchemin. C’est un parc très propre et très sécuritaire.
Des terrains de volley-ball et des aires de jeux sont aménagés dans le parc, ainsi que des aires de pique-nique. Une plage surveillée qui permet de pratiquer des glissades d’eau (il y en a quatre au total) ou de se balader en embarcations nonmotorisées est particulièrement agréable.
On peut donc s’y rendre pour pique-niquer, pour se promener le long des sentiers ou encore pour faire des promenades en calèche, jouer au golf ou tout simplement pour regarder pousser les fleurs.
C’est dans ce parc que se tiennent les festivités les plus fameuses de Lac-Etchemin, telles que la Fête Nationale, le Festival d’Élégance ou la Fête de la pêche qui donne la possibilité de participer à l’ensemencement ou pour les plus belliqueux, de pêcher gratuitement. On y trouve aussi la Glissade au clair de lune, une fête d’été qui rassemble un grand nombre de participants, des exposition de voitures anciennes et des Muscle Cars.
Il ne faut pas oublier le Festival des Neiges qui s’y tient chaque année le premier week-end de février.

Armoiries de la municipalité de Lac-Etchemin. Image libre de droit.
Pour rejoindre l’Éco parc des Etchemins :
213, 1re Avenue,
Lac-Etchemin
Québec
G0R 1S0.
Téléphone : 418 625 3272.
Sainte-Germaine-du-Lac-Etchemin
Circonscrivant la ville de Lac-Etchemin, cette municipalité de paroisse se situe en partie dans le canton de Ware et en partie dans celui de Cranbourne, dans la chaîne des Appalaches, ce qui lui a valu le surnom de Bijour des Alléghanys, les anciens manuels de géographie et les dictionnaires confondant les Appalaches et les Alléghanys. Le territoire couvert par cette municipalité a été ouvert à la colonisation à compter de 1840 par des gens originaires de Beauce, de Sainte-Claire et de Saint-Anselme. En 1869, une paroisse répondant au nom de Sainte-Germaine-du-Lac-Etchemin faisait l’objet d’une érection canonique. Le nom choisi pour la mission, par monseigneur C.-F. Baillargeon, archevêque de Québec, en septembre 1867, souligne que cette année-là le pape avait procédé à la canonisation de sainte Germaine Cousin (1579-1601), surnommée l’humble bergère de Pibrac parce qu’elle gardait les troupeaux.
Ce choix symbolique va cependant plus loin, car Gemaine Cousin offrait ses souffrances (mauvais traitement de sa marâtre) pour la réparation des sacrilèges imputés aux protestants. Or, l’expansion du protestantisme dans les cantons inquiétait les évêques catholiques du temps. Le spécificatif Lac-Etchemin marque la localisation géographique de l’endroit, sur les bordes du lac Etchemin. Par la suite, la municipalité du canton de Ware voit le jour en 1870, rappelant que le territoire est partiellement enclos dans l’espace administratif du même nom, proclamé en 1835, ainsi dénommé en l’honneur de William Ware, arpenteur qui explore cet endroit en 1825, à la demande de la législature du Bas-Canada.
Toutefois, l’exploration de Ware ne fut pas jugée satisfaisante et c’est l’arpenteur William Henderson qui complétera le travail en 1828 et préparera véritablement la colonisation. Cette première entité municipale de la paroisse de Sainte-Germaine-du-Lac-Etchemin en 1874, dont la ville de Lac-Etchemin sera détachée en 1959. Anciennement, on dénommait l’endroit Sainte-Germaine-de-Dorechester, nom qui évoque l’ancien comté devenu par la suite la division de recensement de Dorchester. L’importance du lac Etchemin, est soulignée par le blason de Poissons dont on affuble les citoyens.
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