Les portes de Québec
Sous le régime français, Québec n’avait que trois portes, soit la porte du Palais, la porte Saint-Jean et la porte Saint-Louis.
Québec – 400 ans, une catégorie très spéciale dédiée à l’anniversaire de la ville de Québec fondée en 1608. Voici quelques extraits de nos textes sur le sujet de Québec – 400 ans :
Le plus grand danger de la grippe actuelle n’est pas celui d’en être atteint, mais c’est de ne pas savoir comment s’en défendre. Presque tous les cas graves ou mortels se rencontrent chez ceux qui s’en moquent, qui ne veulent pas arrêter et plus particulièrement chez ceux qui ne prennent pas le temps de se bien guérir.
Après avoir tenté diverses manœuvres pour s’emparer de la capitale de la Nouvelle-France, le général Wolfe, dont l’armée assiège la ville de Québec depuis juin 1759, lance en désespoir de cause une opération risquée, soit un débarquement à l’anse au Foulon. Dans la nuit du 12 au 13 septembre, quatre mille cinq cents soldats britanniques escaladent la falaise et prennent position sur les plaines…
Sous le régime français, Québec n’avait que trois portes, soit la porte du Palais, la porte Saint-Jean et la porte Saint-Louis.
Avant la construction des murailles et des portes de la ville de Québec, l’officier de marine Bellin conçoit et exécute, de 1700 à 1709, les premières fortifications dignes de ce nom
En 1851, les évêques canadiens émirent le vœu qu’une université catholique et francophone soit créée. C’est au Séminaire de Québec
Mgr de Laval, le premier évêque de Québec, débarque en Nouvelle-France accompagné par les abbés Maizerets, Dudouyt, Morel et Pommier
Le 1er avril 1693, quatre religieuses de l’Hôtel-Dieu de Québec fondent sur les bords de la rivière Saint-Charles, alors aux confins de la ville, un nouvel établissement de soins à la population.
L’incendie de 1755 détruisit l’Hôtel-Dieu de Québec de fond en comble. Tout fut anéanti: monastère, dépendances, chapelle et hôpital.
Une dizaine d’épidémies se sont abattues sur Québec au cours du XVIIIe siècle. Les hôpitaux étaient débordés et de nombreuses personnes mouraient quotidiennement
Le commerce du port de Québec et la construction navale battaient leur plein au milieu du XIXe siècle. L’hiver, les chantiers maritimes travaillaient sans répit.
Au XIXe siècle, la deuxième source de revenus de la ville de Québec, après la construction navale, était le commerce de bois
Au cours du XIXe siècle, l’industrie du bois a été l’une des sources les plus importantes de revenus de la province de Québec.
Pendant plus de deux siècles, l’arrivée du printemps signifiait l’arrivée des voiliers après la débâcle des glaces. Cet événement était attendu avec une grande impatience
Au Québec, la tannerie est la plus ancienne industrie. Elle a été introduite en 1660 à l’initiative de M. Jean-Baptiste Colbert de Seignelay
Avec le développement de l’industrie de la chaussure surgissent les inévitables conflits de travail. C’est vers 1900 que les ouvriers des manufactures de chaussure
Les chaussures de Québec deviennent populaires et sont considérées généralement comme des chaussures de qualité. Aux expositions canadiennes et internationales
L’arrivée de la cordonnerie mécanique a changé la vie du Québec. Depuis 1864, on commence à fabriquer des chaussures à la machine, sauf pour la taille de l’empeigne.
La période de 1900 à 1945 se caractérise par une augmentation rapide de la population de Québec et par la prépondérance des habitants d’expression française.
Jusqu’à la seconde moitié du XIXe siècle, la ville de Québec était l’unique grand port commercial du Canada à rivaliser avec les ports américains. Québec détenait alors le monopole des échanges commerciaux au Canada.
La ville de Québec sera en 2008 l’hôte du XIIe Sommet de la Francophonie, qui regroupe 55 États et gouvernements. À cette occasion, Écritout organise un concours
Au XVIIe siècle, l’appellation des rues relevait des compétences du gouverneur de la Nouvelle-France. À Québec, environ trente rues, chemins et ruelles reçurent leur nom autrement.
Rappelons qu’au temps de la Nouvelle-France les autorités désignaient un officier spécial, qu’on appelait le Grand-Voyer,
La première voie ouverte à Saint-Roch fut la rue de Saint-Vallier. À l’origine, elle s’appelait la rue Saint-Charles. En effet, elle partait du bord de la rivière Saint-Charles
À Québec, aujourd’hui encore, les anciennes places et halles de marché sont beaucoup plus que de simples espaces commerciaux.
Au temps de la Nouvelle-France il n’y avait pas de ponts sur la rivière Saint-Charles, mais il y avait trois endroits de passage :
Jusqu’au milieu du XIXe siècle, la grande majorité des maisons de Québec étaient construites en bois, et malgré toutes les ordonnances et mesures de sécurité