Le Manège n’est plus
La ville de Québec a subi une lourde perte en ce mois d’avril 2008, année de son 400e anniversaire. Une partie du patrimoine de la ville
Mirages du passé, une section sur les petites et grandes choses qui ont façonné la ville de Québec d’antan. Mais ces choses ont disparu pour toujours. Voici quelques extraits de nos textes dans le chapitre « mirages du passé » :
Le Manège n’est plus. La ville de Québec a subi une lourde perte en ce mois d’avril 2008, année de son 400e anniversaire. Une partie du patrimoine de la ville s’est envolé en fumée, le 4 avril, lorsque un incendie a détruit le Manège militaire du Vieux-Québec, situé sur la Grande-Allée.
Marché au foin de Québec. À Québec, le marché au foin était situé sur la rue Vallière, tout près du marché aux animaux. Des «pilotes de bœuf», ou bouviers (qui menaient les troupeaux à travers la ville pour les mener au marché), conduisaient les bœufs le long des rues qui n’étaient parfois que de vastes lacs de boue.
La ville de Québec a subi une lourde perte en ce mois d’avril 2008, année de son 400e anniversaire. Une partie du patrimoine de la ville
À Québec, le marché au foin était situé sur la rue Vallière, tout près du marché aux animaux. Des «pilotes de bœuf», ou bouviers (qui menaient les troupeaux à travers la ville pour les mener au marché)
À Québec, à l’époque de la Nouvelle-France, en cas d’effraction ou de crime c’était le Palais de l’Intendant qui servait de prison.
Avant la construction des murailles et des portes de la ville de Québec, l’officier de marine Bellin conçoit et exécute, de 1700 à 1709, les premières fortifications dignes de ce nom
À Québec, aujourd’hui encore, les anciennes places et halles de marché sont beaucoup plus que de simples espaces commerciaux.
Le deuxième pont Dorchester a été bâti en 1821 aux frais de MM. Anderson et Smith. Il était long de 600 pieds et large de 28 pieds. Le tablier du pont était en bois, mais ses piliers étaient en maçonnerie.
Le deuxième pont qui enjambait la rivière Saint-Charles à Québec fut nommé en l’honneur de M. Thomas Scott, venu d’Angleterre probablement dans les années 1780
Faute de pont, des passages à gué et des traversiers joignaient les berges de la rivière Saint-Charles, et ce depuis le premier débarquement de Jacques Cartier et jusqu’en septembre 1789
Avant le XIXe siècle, il n’y avait qu’un seul pont enjambant la rivière Saint-Charles, et encore, ce premier pont fut temporaire. Il fut construit pour des raisons stratégiques.