
Ancienne municipalité de Deauville
Deauville fait partie, depuis le 1er janvier 2002, de l’arrondissement Rock Forest-Saint-Élie-Deauville de la ville de Sherbrooke, centre administratif de la région de l’Estrie. Deauville se situe au sud-ouest de Sherbrooke, tout près du lac Magog. Tandis que l’arrondissement compte 30 mille résidents, la population de Deauville est de trois mille personnes.
C’est en 1917 que le village de Deauville est constitué sous le nom de Petit-Lac-Magog. Le nom de Deauville n’est adopté qu’en 1945. Cette appellation évoque la ville de Deauville, en France.
Deauville se démarque par sa plage municipale en sable Petit Lac Magog, très fréquentée par des résidents de Sherbrooke. Le Lac a quelques kilomètres de long, il y a un petit quai à la descente de gravier et un terrain de volley-ball. Au fait, c’est une belle place pour s’amuser entre amis par une belle journée.
Deauville se situe le long de l’autoroute 10 qui relie Sherbrooke et Montréal. Son parc industriel bénéficie de l’accès direct aux marchés américain et québécois. Une vingtaine d’entreprises industrielles ont élu domicile au Parc industriel de Deauville. Ces entreprises génèrent plus de 500 emplois dont la plus grande partie dans le secteur industriel.
Deauville, note historique
Enn France, qui dit Deauville pense station balnéaire de grand luce, rendez-vous estival du Tout Paris et de la haute société internationale. En effet, cette commune du Calvados, en Basse-Normandie, située sur la Manche, à l’embouchure de la Touques, à peine à 200 km de Paris, a tout pour séduire le vacancier attiré par les mondanités : sa belle plage de sable fin, qui s’étire sur 3 km, sa fameuse promenade surnommée Les Planches où déambulet vedettes et autres célébrités, son superbe port de plaisance, ses courts de tennis, ses rues fleuries et ses magnifiques terrasses, ses hôtels somptueux, ses boutiques de luxe, ses villages cossus, son riche casino dont l’architecture rappelle le Trianon et surtout son hippodrome de grande renommée.
Dans ce paradis du loisir, l’animation y est partoculièrement grande lors de la saison des courses en été. En outre, Deauville constitue un centre d’entrapinement reconnu pour les chevaux de course et une importante centre d’échange où se tient annuellement le marché international du yearling (jeune cheval de course). Cette élégante station balnéaire fut créée de toute pièce par le duc de Morny en 1860, tout à côté de Trouville, autre station balnéaire déjà réputée à cette époque, dans une plaine sablonneuse jouxtant une vaste prairie, d’où l’étymologie plausible de Deauville, domaine de la praire humide. La forme toponymique Auvilla attestée en 1060, composée à partir du nom d’homme gernamique Auwo, infirmerait toutefois cette hypothèse. Les charmes de Deauvill n’ont pas manqué d’impressionner le maire d’une petite municipalité de l’Estrie, au Québec, qui séjourna à Deauville à l’occasion d’un voyage en France dans les années 1940, si bien que ce dernier revint avec l’intention de changer le nom de sa municipalité, qui se dénommait depuis 1917 Petit-Lac-Magog, pour celui de Deauville, nourrissant sans doute le désir que son village ressemble un jour au Deauville français.
Un décret gouvernemental confirma le changement de nom en 1945 et c’est ainsi que Deauville vint enrichir la toponymie québécoise. Il est plausible également que l’environnement lacustre de la petite municipalité québécoise ait tout simplement orienté ce choix puisque le nom Deauville correspond littéralement à ville d’eau. Le Deauville québécois, situé à une quinzaine de lilomètres au sud-ouest du centre-ville de Sherbrooke, la capitale de l’Estrie, occupe en efft la rive nord du lac Magog, une étendue d’eau relativement importante qui offre aux villégiateurs tous les attraits désirés.

Deauville, motel Clair de Lune. Photographie lbire de droits.
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