Circuit automobile de Sherbrooke

Circuit automobile du Vieux-Sherbrooke

Le circuit automobile du Vieux-Sherbrooke, l’un des trajets touristiques aménagés dans la ville capitale des Cantons-de-l’Est, offre une magnifique opportunité de faire une balade touristique guidée et panoramique, en parcourant la ville à bord d’une voiture antique.

Lors de cette balade d’une durée d’une heure et demie, les visiteurs retournent dans le passé, tout en admirant la richesse des belles maisons victoriennes du Vieux-Nord de Sherbrooke, un quartier pittoresque et historique.

Les vacanciers s’offrent le plaisir d’une expérience unique, celle de circuler à bord d’une rutilante Dodge 1928 ou d’une Studebaker Président 1956 ou encore d’une Packard 1951.

Le chauffeur fera découvrir aux passagers les différents sites patrimoniaux et les conduira vers les meilleurs endroits d’où l’on peut observer des panoramas exceptionnels de la ville.

Notez que les réservations sont obligatoires pour avoir le choix de la voiture pour 2 ou 4 passagers. Le départ est situé au Bureau d’information touristique de Sherbrooke et les sorties s’échelonnent de mai à octobre.

À Sherbrooke, la rue de la Colline, ouverte en 2004, est tracée sur l’interfluve entre deux ruisseaux, l’un se déversent dans le lac Magog et l’autre dans la rivière du même nom.

Pour contacter l’administration du Circuit automobile :

785, rue King Ouest

Téléphone : 819 349 0485.

Circonscription électorale de Sherbrooke

Cette circonscription électorale de 46 km2 dont le nom pour désigner un comté remonte à 1829, comprend la population sherbrookoise localisée à l’ouest de la rivière Saint-François.

Le reste de la population de Sherbrooke appartient à la circonscription de Saint-François, sa voisine à l’est. L’attribution du nom de la ville à la circonscription n’est pas nouvelle car, de 1840 à 1912, un comté a même porté le nom de Ville de Sherbrooke.

La population de cette circonscription essentiellement urbaine trouve de l’emploi notamment dans plus de 130 entreprises manufacturières, dont les plus importantes concernent le textile, la machinerie, l’alimentation et les produits en caoutchouc ou en plastique. Gouverneur en chef de l’Amérique du Nord britannique de 1816 1818, sir John Coape Sherbrooke (1764-1830) était encore vivant lorsque son nom fut attribué en 1818 au noyau qui devint Sherbrooke et même à la circonscription électorale, en 1829.

Canton d’Ascot

Le territoire de ce canton, concédé en 1803 à Gilbert Hyatt, important propriétaire de moulins à scie, est profondément marqué par le cours de la rivière Saint-François, qui y effectue un long crochet dans sa partie nord, et par ses confluences avec des rivières aussi importantes que la Magog (au lieu appelé autrefois Grandes-Fourches, aujourd’hui Sherbrooke) et la Massawippi (autrefois Petites-Fourches, aujourd’hui, Lennoxville), cette dernière y recevant également les eaux des rivières Coaticook et aux Saumons qui sillonnent le sud et le sud-est du canton. Son terrain riche, dont les collines varient entre 200 et 438 mètres d’altitude, et la nature variée de son sol n’ont jamais cessé depuis lors d’attirer la population, si bien que les limites de cette division géographique renferment aujourd’hui plusieurs agglomérations, telles Ascot-Center, Fleurimont, le hameau de Huntingville, Lennoxville et Sherbrooke. En 1815, Joseph Bouchette écrivait Ascott, avec deux t. Le canton fut proclamé en 1803.

rue wellington et sherbrooke
Rue Wellington Nord coin King Ouest vers 1960. Source : Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

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