Armoiries

Armoiries de Saint-Éloi

Armoiries de Saint-Éloi

Armoiries de Saint-Éloi

Germe de blé: Les belles terres agricoles qu’il y a dans notre municipalité​

Ferme: L’agriculture, l’économie et le développement

Le bleu de l’eau: Un paysage toujours accompagné du fleuve St-Laurent

Les feuilles et le vert: Les belles forêts resplendissantes

Le jaune: Représente la lumière, la chaleur autant humaine que physique

Les mots:

PROSPÈRE-ENSEMBLE­­ Saint-Éloi est une municipalité qui réussit toujours à s’en sortir malgré les problèmes qui surviennent.​

Signifie également coopération et entente entre les membres de la communauté de Saint-Éloi.

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Armoiries de Saint-Éloi​. Image libre de droits.

Saint-Éloi, note historique

Municipalité agricole implantée à mi-chemin entre Trois-Pistoles et L’Isle-Verte, Saint-Éloi (Municipalité régionale de comté des Basques) est peu éloignée du Saint-Laurent, au nord-ouest. La rivière des Trois Pistoles forme la limite territoriale à l’est. L’endroit appartient traditionnellement au Témiscouata. Établiée à l’occasion d’un démembrement des paroisses de Saint-Jean-Baptiste-de-l’Isle-Verte et de Notre-Dame-des-Neiges-des-Trois-Pistoles, la paroisse de Saint-Éloi, érigée canoniquement et civilement en 1848, devait donner son nom au bureau de poste établi en 1853 et à la municipalité de paroisse créée en 1855. Cette appellation provient de la sanctification du prénom du seigneur de Trois-Pistoles de 1818 à 1858, Éloi Riou, dont le patron, évêque de Noyon-Tournai (641-660), fut trésorier du roi Dagobert 1er et a inspiré une chanson fort populaire.

Saint-Éloi est le patron des orfèvres et des forgerons. Quoique très peu peuplée, la municipalité se distingue par son industrie laitière, l’élevage des animaux de boucherie et une importante culture de la pomme de terre. Certains Éloisiens s’étant engagés par le passé comme pompiers à Montréal et s’étant servis de leur influence pour faciliter l’accès de leurs amis à un tel emploi, moyennant rétribution, on a jadis surnommé l’endroit Pompierville. Cet épisode a également donné naissance à une pièce musicale, le Reel des pompiers de Saint-Éloi. Cette municipalité a vu naître les politiciens Ernest Lapointe (1876-1941) et Adélard Godbout (1892-1956). Le premier s’est illustré sur la scène fédérale en occupant le poste de ministre de la Justice du Canada au cours des dernierèes années de sa vie, alors que lescond a été premier ministre du Québec en 1936, puis de 1939 à 1944.

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