
Société d’histoire de Charlevoix
La Société d’histoire de Charlevoix est un organisme sans but lucratif créé le 27 juin 1984 dans le but de mettre en valeur le patrimoine et l’histoire de la région de Charlevoix.
La Société est accessible dans une maison patrimoniale du centre-ville de La Malbaie. Elle offre aux visiteurs et amis de la Société des livres et des revues de la Société, la possibilité de consulter ses archives (un des fonds documentaires les plus importants de la région de Charlevoix), de l’aide dans la recherche généalogique, des visites guidées pour celles et ceux-ci qui aimeraient découvrir l’histoire de l’arrière-pays de Charlevoix, une présentation sur l’histoire ferroviaire de La Malbaie et de Charlevoix, ainsi qu’une bibliothèque très complète de livres sur Charlevoix.
La Société tient régulièrement des expositions des documents et des expositions de photos anciennes.
La Société publie la Revue d’histoire de Charlevoix dont le premier numéro est paru en juin 1985. Cette publication paraît quatre fois par année. La Revue d’histoire de Charlevoix présente des articles sur l’histoire de la région. Des numéros thématiques sont aussi publiés et présentent l’histoire des villes et villages de Charlevoix ou encore s’intéressent à des sujets précis.
En couverture, on retrouve l’œuvre d’un artiste-peintre illustrant un paysage ou une scène de Charlevoix. La revue est illustrée de photos anciennes et offre une agréable présentation visuelle
Au fil des ans, la Société a publié un certain nombre d’autres publications. On peut citer, entre autres, Contes, légendes et récits de Charlevoix, Les ramancheurs Boily au Québec, Charlevoix en bref, Louis le Magnétiseur – toutes ces œuvres ont été rédigés par Serge Gauthier; Être seigneur aux Éboulements par Jean-Paul Tremblay, Terres de Petite-Rivière-Saint-François de Raymond Gariépy; Si culture il y a… de Jean-Paul Tremblay ; Pin jongleur de Jean-Paul Tremblay; Rivière-Malbaie de Martin Brassard. On peut également faire l’acquisition du livre Menaud maître-draveur (Édition 1937) écrit par Félix-Antoine Savard.
Pour consulter les archive de la société des frais s’appliquent, mais la consultation est gratuite pour tous les membres de la société.
Pour joindre la Société d’histoire de Charlevoix :
Société d’histoire de Charlevoix
156, de l’Église
La Malbaie
G5A 1R4.
Téléphone : 418665-8159.
Site Web de la Société de l’histoire de Charlevoix : shistoirecharlevoix.com.

Mont de Croix de Clermont. Photo : GrandQuebec.com.
Je suis à la recherche du volume
Répertoire des CIMON (Simon) d »amérique
publier par Marie Cimon Beaupré.
Est-ce que celivre est encore disponible pour se le procurer
et connaitre la façon de procéder.
A ma connaissance Marie Cimon Beaupré a céder ses recherche à votre Société D’histoire de Charlevoix
En attente d’une réponse
Richard Cimon
Chicoutimi Tel: (418)543-9335
Ave vous un réponse au Richard Cimon’s recherches pour cet livre?
Bonjour,
Je suis devant une énigme. Selon le contrat de mariage de Adélard Bouchard et Rose Anna Gaudreau du 21 novembre 1910 à St-Agnès, Rose Anna est déclarée fille légitime mineure de François Gaudreau et Georgianna Simard de Ste-Agnès. Or j’ai fouillé les registres religieux et je n’ai pas trouvé de Rose Anna née de ces parents durant la période où elle devait être mineure. J’ai découvert que ce couple a perdu le 8 janvier 1894 leur fille Marie Anne née le 25 juillet 1892. J’ai par contre trouvé une Rose Anna Gaudreau née le 12 juillet 1894 de Edmond Gaudreau et Agnès Brassard de la même paroisse. Ce Edmond Gaudreau est décédé le 14 avril de la même année. Serait-il possible que le couple Gaudreau Simard ait adopté ce bébé?
Est-ce qu’il existe des registres civil pour les adoptions?
J’apprécierais beaucoup votre aide, c’est mon épouse Doris Sheehy (Marcellein Sheehy, Lucienne Bouchard) qui est une descendante de cette Rose Anna Gaudreau.
Merci!
Jean Louis Ouellet, St-Félicien
J’ai trouvé la réponse, le curé a donné le nom de Marie Osala à Rose Anna. Il devait avoir l’oreille dure. Cependant ses parents François et Georgianna ne l’ont sans doute jamais su et ils ont continuer à l’appeler Rosanna.
Quel hasard. En lisant l’enigme Je me rend compte que ma grand mère Marianne, nee de Edmond et Agnès, a été adoptée par Mederic Girard et Luce Coté