Citations

Brouillon, citations

Citations : Il appliquait à la lettre la loi du Coran : crois ou meurs. (p.321, Albert Jobi, Petite histoire de Québec, 1948, éditions St-Jean de Bosco).

Cette période – ces jours qui paraissaient rétrospectivement étranges et beaux – né dura pas longtemps. Les gens avaient commencé à imaginer l’avenir lointain au moment où il leur avait été brutalement arraché, c’était ironique. (Stephen Baxter, Temps)

Adieu, ô, mon fils, Toi qui as passé le grand fleuve (Poème blackfoot)

Ah, une cabane dans la forêt immense… (William Cooper, À la Tâche)

Où aller Pour vivre à jamais (Poème omaha)

Le courage ne sert de rien sans l’aide des dieux (Euripide, Les Suppliantes)

Il est messéant de s’ébranler pour la menace du coup ; d’autant que pour sa violence et vitesse nous le tenons inévitable (Montaigne, Les Essais).

Des eaux vierges,  des rivages inimaginés (Conte d’hiver, William Shakespeare)

Les blessures d’un ami prouvent sa fidélité (Proverbe, 27-6)

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Notre chant portera Jusqu’à ces terres lointaines (Poème paiute)

Elle savait chanter, et j’avais en son intelligence une confiance absolue. Mais j’avais compris depuis plus d’un an maintenant que je n’avais aucune chance avec cette femme spectaculaire .

Toi, ambassadeur redouté de la terre aux cieux (Samuel Taylor Coleridge, Les Ballades lyriques).

La connaissance est une torche fumante Qui n’éclaire guère qu’à un pas Une nuis de peur et de mystère (George Santayana, Sonnets et Autres Poèmes)

Je suis celui qui voyage dans le vent, Celui qui chuchote dans la brise (Poème ojibwa)

Ainsi le tour viendra pour les murailles du vaste monde qui, succombant aux assauts du temps, ne laisseront plus que décombres et poussière de ruines (Lucrèce)

marie

Là, à la paisible frontière du monde  (Alfred, lord Tennyson, Tithonus).

…Glissant sur les mers brumeuses, lourd de temps et d’espace (Walter Asquith, Ancient Shores).

*

Le rugissement lointain du temps qui se retire
Cet antique rivage, balayé par le temps
Les terres inondées de lune où l’homme a ri autrefois Ne sont plus que cadavres pourrissants
Et dans ce immense océan nocturne Les lumières n’attirent que nous
Le véritable pouvoir ne repose pas sous terre. Il est là, en nous.
Car nous marchons par la foi et non par la vue (Deuxième Épitre aux Corinthiens, 5.7).

Un homme sans argent est comme un arc sans flèche (Thomas Fuller, Gnomologia, 1732)

Le cœur léger, nous nous lançâmes aussi sur les flots inconnues, Sans crainte, vers de lointains rivages (Walt Whitman, La Route des Indes).

La peur a bien des yeux (Cervantès Don Quichotte)

Étudiants, commerçants, politiciens, agriculteurs,
Hommes et femmes comme vous et moi,
Tous vinrent
Et tous furent changés à jamais

Une vague lueur de temps entre deux éternités ; et pas de deuxième chance pour nous, jamais. Thomas Carlyle, Les Héros et le Culte des HérosOù se trouve le dernier port, d’où nous ne lèverons plus jamais l’ancre ? (Herman Melville, Moby Dick).

À lire aussi :

Lettres au journal Le Devoir en mars 1982

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