Mirages du passé
Mangé par le temps
– Nous venons de détruire un univers!
– N’exagérons rien!
(L’Apopis Républicain, Ugo Bellagamba)
Ville de Québec… les explorateurs s’y soient émerveillés, les voyageurs l’aient racontée, les poètes l’aient chantée… Ville d’histoire, Québec n’est pas moins la ville moderne. La technologie de pointe, la recherche universitaire, l’enseignement universitaire y sont à l’honneur, renforçant sa longue tradition ancrée d’abord dans la construction navale, ensuite dans la tannerie, la bonneterie, la cartoucherie, puis dans les pâtes et papiers, puis dans la transformation.
L’industrie touristique, dont la ville de Québec se fait championne, offre aux vacanciers un produit exotique s’appuyant sur un site imprenable et un cadre architectural singulier.
Ville moderne, Québec est aussi confrontée aux attributs d’une ville centre, victime de l’étalement urbain ainsi que de la paupérisation de ses quartiers populaires et de l’iniquité fiscale qui en résultent.
Dans cette section donc nous rendons hommage au passé bâti qui n’existe plus. Des bâtiments qui ont existé pendant des siècles avant de s’effondrer ou d’être anéantis par le feu… Des constructions éphémères qui n’ont existé que quelques années ou quelques mois, mais qui ont joué un rôle important dans l’histoire de la Ville de Québec.
Voir nos textes sur les mirages du passé de la ville de Québec :
- Les fortifications
- Marché au foin
- Le pont de 1759 (premier pont à Québec)
- Premier pont permanent
- Le 2e pont Dorchester
- Ponts du XIXe siècle
- Halles de Québec
- Première prison
- Le Manège en flammes